Une récente étude australienne, publiée dans Breast Cancer Research and Treatment (Bettariga, Taaffe, Crespo-Garcia et al., 2025), démontre qu’une simple séance d’exercice intense ou de résistance peut augmenter dans le sang la concentration de “myokines”, des protéines sécrétées par les muscles, capables d’inhiber la croissance de cellules cancéreuses in vitro. Une découverte qui bouleverse notre compréhension du rôle du mouvement dans la lutte contre le cancer.
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