Les droites populistes accusent les magistrats français de saper la démocratie, tandis que les partis traditionnels européens saluent le verdict comme salutaire. Les deux ont tort.
20 avril 2025Le Réseau Atlantico
Best-Of du 19 au 25 avril
Klaus Kinzler est professeur de langue et de civilisation allemande.
Les droites populistes accusent les magistrats français de saper la démocratie, tandis que les partis traditionnels européens saluent le verdict comme salutaire. Les deux ont tort.
Philippe Carli, président du groupe de presse Ebra, a été contraint à la démission après qu'une enquête menée par Mediapart a fait état de likes sur les réseaux sociaux, dont certains concernaient des publications jugées d'extrême droite.
Commençons notre voyage dans le régime parlementaire allemand et faisons l’effort (un très gros effort) d’imaginer ce qui s’y passerait le soir des élections au Bundestag dans l’hypothèse – improbable, avouons-le - où les résultats étaient grosso modo ceux sortis des élections françaises.
Le projet européen présenté par le président à la Sorbonne est susceptible de provoquer une grave crise constitutionnelle de l’Europe.
Klaus Kinzler publie « L’islamogauchisme ne m’a pas tué » aux éditions du Rocher. Professeur d’allemand et de civilisation allemande à l’Institut d'études politiques de Grenoble, Klaus Kinzler a été ciblé par des étudiants sur les réseaux sociaux. Il revient sur cette « affaire de Grenoble », cas d'école qui en dit long sur l'état de la liberté d'expression aujourd'hui.
Klaus Kinzler publie « L’islamogauchisme ne m’a pas tué » aux éditions du Rocher. Peut-on imaginer, en France, qu'à la suite d'un échange de mails entre enseignants, un professeur se trouve accusé de « fascisme » et d'« islamophobie » par un syndicat étudiant ? C'est la singulière mésaventure dont a été victime Klaus Kinzler, professeur d'allemand à l'IEP de Grenoble depuis vingt-six ans. Extrait 2/2.
Klaus Kinzler publie « L’islamogauchisme ne m’a pas tué » aux éditions du Rocher. Peut-on imaginer, en France, qu'à la suite d'un échange de mails entre enseignants, un professeur se trouve accusé de « fascisme » et d'« islamophobie » par un syndicat étudiant ? C'est la singulière mésaventure dont a été victime Klaus Kinzler, professeur d'allemand à l'IEP de Grenoble depuis vingt-six ans. Extrait 1/2.