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Ces médecins réclament notamment une majoration des actes pratiqués tenant compte des spécificités territoriales. Leur démarche intervient avant les négociations conventionnelles entre libéraux et Assurance-maladie qui démarreront le 16 mai prochain.

L’Assurance maladie exige en retour des «évolutions en faveur de l'amélioration de la santé de la population».

Le ministre de la Santé, dans Le Parisien, ne ferme pas la porte sur ce sujet débattu entre les syndicats de médecins et l'Assurance maladie.

Le contrôle de la qualité de l’air et son renouvellement fréquent permettent de limiter les contaminations liées aux maladies respiratoires, notamment dans les écoles.

C'est le cas d'une quarantaine de départements qui sont sous le seuil critique

Le gouvernement veut prolonger l'internat des étudiants en médecine générale d'un an. Cette quatrième année aurait lieu dans les déserts médicaux.

Depuis quelques mois, il est de plus en plus compliqué de trouver un médecin généraliste ou spécialiste. Un problème qui ne concerne pas seulement les territoires ruraux. Comment expliquer ce phénomène ?

Une circulaire de la Direction générale de la santé indiquait dimanche que les doses de vaccins ne pourraient être commandées que par les officines. Patrick Bouet, le président du Conseil national de l'Ordre des médecins a tenu à réagir.

"La commande de la semaine du 8 mars est exceptionnellement ouverte aux seuls pharmaciens", selon la Direction générale de la santé, ce lundi.

Dès le 25 février prochain, il sera possible pour les moins de 65 ans qui présentent des facteurs de risque de se faire vacciner contre la Covid-19 au cabinet de son médecin généraliste avec le vaccin AstraZeneca, selon des informations de RTL. Cette étape va permettre d’accélérer la campagne de vaccination.

Jean-Paul Hamon et Daniel Rosenweg publient "Qui veut la peau de nos généralistes ? Comment ils tuent la médecine de proximité" aux éditions Albin Michel. La population augmente, vieillit, et le nombre de médecins pour la soigner s'effondre. Nos "élites" dégradent depuis trente ans la qualité de prise en charge du patient. La gestion de la Covid-19 illustre bien leur mépris des généralistes pourtant en première ligne. Extrait 2/2.

Le syndicat de médecins généralistes MG France vient de dévoiler une projection sur l’épidémie de coronavirus cette semaine. Selon cette estimation, près de 1,6 millions de Français pourraient avoir été contaminés par le Covid-19 jusqu’à présent.

Le président de la République a présenté une série de mesures phares pour réformer en profondeur le système de santé. Elles seront appliquées d'ici la fin de son quinquennat.

Un décret instaure le concept de consultations "complexes" et "très complexes".

Le cabinet Jalma a développé récemment un simulateur en ligne pour estimer le délai d'attente des patients qui souhaitent consulter un médecin en fonction de leur position géographique.

A partir du 1er mai 2017, il faudrait débourser 2 euros de plus pour se rendre chez le médecin.

Selon l'Ordre des médecins, le nombre de généralistes en France a déjà diminué de 8,4 % entre 2007 et 2016.

Montres connectées, historiques de navigation, centralisation des données médicales... Les informations numériques constitue une mine d'information riche pour établir des diagnostics. Une évolution technologique qui ne pourra pas néanmoins remplacer le médecin, dont l'impact humain n'est pas encore remplaçable, et qui sera nécessairement à l'origine des programmes informatiques liés à l'interprétation de ces données.

Non content d'être contre-productive en termes de coûts, la loi santé portée par la ministre Marisol Touraine contribue à rompre encore plus le lien humain entre le patient et le corps médical.

Selon les premiers chiffres publiés par le premier syndicat de médecins libéraux, le taux de gréviste dépasse les 70 % ce mercredi.