Alors que le féminisme postmoderne semble s’enliser dans ses propres contradictions, une génération d’hommes déboussolés émerge, fruit d’une déconstruction idéologique qui, sous couvert de progrès, a sapé les fondements de l’identité masculine. Derrière la culture incel, souvent diabolisée, se cache moins une menace qu’un symptôme : celui d’une crise silencieuse que la société préfère condamner plutôt que comprendre.
il y a 10 heures