L’attaque au couteau d’un adolescent à Southport, qui a coûté la vie à trois jeunes filles, a déclenché la pire vague de violences urbaines depuis 2011 au Royaume-Uni.

Du sud-est de l'Angleterre au sud-est de l'Espagne, les gens en ont assez de l'ouverture des frontières et de la criminalité liée aux migrants.

Face aux diktats écologistes désastreux et aux coupes budgétaires dévastatrices qui pèsent sur les moyens de subsistance des agriculteurs, les élites bruxelloises, déconnectées de la réalité, semblent avoir oublié d'où vient leur nourriture.

Alors que les États occidentaux renoncent à lutter contre la criminalité et à surveiller les frontières, les citoyens luttent de plus en plus pour reprendre le contrôle.

Portée par l’alliance improbable du « wokisme » et de l’islamisme, une nouvelle politique identitaire gagne l’Europe : sous couvert de progressisme, des partis confessionnels mobilisent l’électorat musulman comme un bloc, menaçant la cohésion démocratique du continent.

Face à la poussée des droites populistes, Bruxelles, Berlin, Londres et Vienne affichent un tour de vis migratoire… qui reste surtout de la communication, loin des résultats attendus.

Contrairement aux alarmes médiatiques, la génération Z européenne n’est pas en route vers l’autoritarisme, mais exprime une profonde insatisfaction à l’égard de la démocratie en place.

Fumer à la plage ou au parc est désormais interdit suite à l'application d'un nouveau décret.

À 40 ans, Schengen devait incarner l’Europe sans frontières ; il symbolise désormais contrôles rétablis, crise migratoire et montée des droites populistes, preuve pour bien des États que le modèle d’ouverture ne tient plus ses promesses.

De l’Italie au Royaume-Uni, de plus en plus d’États européens défient la Cour européenne des droits de l’homme, accusée d’empêcher l’expulsion de criminels étrangers au nom du droit à la vie privée ou familiale.

Aucun algorithme, chatbot ou modèle de langage ne pourra jamais remplacer ce qui fait de nous des êtres humains.

Lorsque nos gouvernements récompensent la violence ou les menaces par la censure, cela crée un dangereux précédent.

Le voyage grotesque de la "flotille de la liberté", du bateau la Madleen, a incarné la vacuité des déclarations d'intention des Occidentaux pro-palestiniens.

Le programme de lutte contre l'extrémisme du gouvernement britannique ignore délibérément la véritable menace pour la sécurité : l'islamisme.

La polémique enfle autour du boxeur algérien Imane Khelif, sacré champion olympique à Paris en 2024 dans la catégorie féminine. Un an après une victoire controversée contre l’Italienne Angela Carini, des documents médicaux divulgués confirment que Khelif est porteur d’un caryotype masculin (XY). Une révélation explosive qui relance le débat sur la place du sexe biologique dans le sport de haut niveau, l’aveuglement des instances internationales, et les risques encourus par les athlètes féminines face à une idéologie devenue, pour certains, plus importante que la sécurité ou l’équité.

La presse occidentale répand des mensonges moyenâgeux sur l'État juif.