La ministre Aurore Bergé vise à mieux encadrer les contenus en ligne en accélérant la suppression des discours de haine via une coalition d’associations triées sur le volet. Ce choix soulève l’inquiétude de certains observateurs, qui redoutent une dérive liberticide : en n’impliquant que des associations dédiées aux minorités et aucune spécialisée dans le cyberharcèlement, le projet pourrait assimiler de simples opinions traditionnelles à des propos haineux, bridant ainsi la liberté d’expression politique.
il y a 3 heures