En tournée en Algérie pour lui déclarer son amour, le député insoumis joue les anti-ambassadeurs de France à la télé et passe Boualem Sansal et Christophe Gleizes par profits et pertes.
1 juillet 2025Le Réseau Atlantico
Best-Of du 21 au 27 juin
Hugues Serraf est journaliste et écrivain.
Il a dirigé le pôle de presse automobile du groupe Bertelsmann Information Professionnelle, avant de développer les sites Internet de l’hebdomadaire spécialisé L’argus et de lancer l'hebdomadaire pour tablettes de Slate.fr.
Il est notamment l'auteur du Petit dictionnaire (modérément) amoureux de Marseille (Gaussen, 2018), de Les docks de Marseille (L'Aube, 2017), de Ils sont fous ces juifs (Éditions du Moment, 2012), de L'anti-manuel du cycliste urbain (Berg, 2010) et de Petites exceptions françaises (Albin Michel, 2008).
Ses derniers romans : La vie, au fond, Intervalles, 2022 ; Le dernier juif de France, Intervalles, 2020 ; Deuxième mi-temps, Intervalles, 2019 ; Les heures les plus sombres de notre histoire (L'Aube, 2016) et Comment j'ai perdu ma femme à cause du tai chi (L'Aube, 2015).
En tournée en Algérie pour lui déclarer son amour, le député insoumis joue les anti-ambassadeurs de France à la télé et passe Boualem Sansal et Christophe Gleizes par profits et pertes.
Les députés LFI Rima Hassan et Anthony Smith orientent « la Meute » vers les franchisés de deux enseignes présumées « sionistes ». Déjà une boutique cramée.
Un accord bilatéral entre Français et Britanniques pourrait conduire au renvoi des migrants dans le premier pays européen traversé. Plus au sud, on fait la gueule.
Les députés insoumis tentent de barrer la route à un texte aggravant les peines encourues par les agresseurs de personnels médicaux ; il est adopté malgré eux.
Si le candidat démocrate l’emporte, les loyers seront bloqués, les bus deviendront gratuits et des supermarchés publics sans impôts ni charges concurrenceront le privé. Ça va distribuer tous azimuts.
Palestine et abrogation de la réforme des retraites : l’ex-baron RPR et promoteur du licenciement express des moins de 26 ans s’attaque à la présidentielle par la face Mélenchon.
Le député Fi qui achetait sa « 3-MMC » à des ados aux frais du Parlement est de retour, plus que jamais déterminé à aller « au bout de l’engagement pour lequel il a été élu ».
145 femmes ont été victimes de « piqûres sauvages » dans la nuit de dimanche à lundi, la nature des substances injectées restant mystérieuse.
Pour l’islamologue, la disparition du régime religieux iranien aurait un impact similaire à celui de la chute du Mur de Berlin sur l’islamisme à travers le monde.
Parce qu’on leur refusait une prise de parole politique et technophobe, des élèves ingénieurs sabotent la cérémonie de remise de diplôme de la prestigieuse école.
Les métaphores culinaires de la chroniqueuse n’étant pas au goût des journalistes du quotidien, ils demandent qu’elle soit privée de gigot dominical.
L’État va accroître son aide la production musicale française mais, comme souvent, l’argent public va d’abord là où l’on en manque le moins.
Interpellé par Jérôme Guedj, l’influenceur Fi en chef met les internautes au défi de le prendre en défaut d’antisémitisme. Les réponses fusent et satureraient un disque dur.
Les socialistes ont clos leur congrès sans synthèse, Olivier Faure refusant de s’interdire un accord électoral avec la Fi. Jérôme Guedj a dû manquer d’arguments...
De l’islamisme à la gauche woko-illibérale, d’autres menaces existent pour nos sociétés mais "le ventre de la bête immonde" est effectivement toujours fécond.
La Fi deviendra-t-elle un mouvement religieux assumé, ou au minimum un parti doté d’une composante religieuse au sens des courants idéologiques du PS ?
Cuisiné dans le cadre d’une commission d’enquête, l’influenceur Nasdas a des réponses mais ce sont les questions qui ne vont pas.
Les VTC manifestent pour demander un numerus clausus similaire à celui des taxis, lesquels manifestent contre les VTC qui contournent le leur.
Le chef insoumis avait inventé l’expression pour François Hollande. On le croyait méprisant, mais ça devait être un compliment.
Pour Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, les économies envisagées par les membres du gouvernement « ne sont pas à la hauteur de l’enjeu ».