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Elon Musk a dit regretter d'être « allé trop loin » dans certaines de ses publications virulentes contre Donald Trump, quelques jours après leur dispute en place publique. Des excuses dont Donald Trump a « pris acte », selon la Maison Blanche.

On vous l’avait bien dit. Certains vous le rappellerons : il était inenvisageable que deux mâles alpha restent dans la même pièce bien longtemps. Pourtant la violence de leur querelle a surpris. S’ils ne sont plus amis, peuvent-ils rester alliés ?

Le patron de Tesla et SpaceX a publié un message d’excuses sur son réseau social X, après avoir fortement critiqué le président américain.

Errol Musk s’est exprimé pour la première fois au sujet des vives tensions entre son fils Elon et le président américain Donald Trump. Selon son père, Elon Musk a commis une erreur.

C’est presque devenu une habitude. Cela ne devrait pas. Le président américain invective le Banquier central américain, lui reprochant de ne pas assouplir davantage la politique monétaire. Il faut dire que l’indépendance de la Banque centrale n’est pas un sujet tabou pour Donald Trump. Ce n’est même pas un sujet du tout. Idéalement, Donald Trump se verrait bien financer ses plans par de la création de monnaie. Comme s’il avait le droit d’imposer cela à la Banque centrale, et cette dernière le devoir de lui obéir. Jadis, le pape Sylvestre 1er aussi invoqua un droit exorbitant auprès de l’autorité en place. Mais c’était un faux.

Le tandem explosif formé par Donald Trump et Elon Musk n’aura pas résisté aux chocs d’ego, aux désaccords stratégiques et aux ambitions rivales. De conseillers à rivaux, les deux titans de la politique et de la tech s’accusent désormais mutuellement, dans une guerre d’image où se mêlent orgueil blessé, stratégie de communication et appétit de revanche.

L’alliance de circonstance entre Donald Trump et Elon Musk n’aura duré que quelques mois. Elle se brise sur fond de désaccords budgétaires et de visions divergentes de l’avenir américain. D’un côté, une Amérique populaire, conservatrice et attachée à une forme de souveraineté ; de l’autre, les techno-libertariens qui misent sur l’innovation et l’autonomie du marché. Au-delà de la rupture personnelle, c’est tout un équilibre idéologique qui vacille : qui, de l’État ou des géants de la tech, mène encore le jeu ?

Après une semaine délirante où Donald Trump et Elon Musk se sont déclarés la guerre, les milieux d’affaires internationaux sont en panique, car ils pensent que le président américain va finir par tout casser.

Après s’être livrés à un véritable duel numérique tout au long de la journée, Donald Trump a finalement tempéré sa querelle avec Elon Musk. Le président a relativisé l’ampleur de l’affrontement, laissant entendre qu’un échange entre les deux hommes pourrait intervenir dès ce vendredi.

Les relations entre le président américain Joe Biden et Elon Musk, patron de SpaceX, ont littéralement volé en éclats jeudi, moins d’une semaine après la fin d'une mission officielle du milliardaire. Échanges acrimonieux, invectives, menaces à peine voilées : les deux hommes n'ont pas hésité à exposer publiquement leurs profondes divergences.

L’administration Trump aurait mandaté Palantir pour bâtir une base de données fédérale unifiée sur les citoyens américains. Derrière ce projet aux implications massives, on retrouve l’influence d’Elon Musk, récemment salué pour son travail au Department of Government Efficiency (DoGE). Une initiative à l’intersection de la lutte contre la fraude, de la restructuration de l’État et d’un tournant algorithmique majeur.

Permettre à l’homme de s’installer sur Mars demeure la quête ultime d’Elon Musk. Mais en attendant, il doit ferrailler contre des problématiques beaucoup plus terre à terre.

La position du président Donald Trump a été décrite par la porte parole de la Maison Blanche comme "inchangée" par les critiques de son soutien milliardaire.

Les actionnaires de Tesla exigent du dirigeant qu’il revienne au boulot 40 heures par semaine, gère la crise de la marque... et prépare son propre remplacement.

Sauver les Etats-Unis de la faillite et sauver l’humanité de l’extinction, voici le programme d’Elon Musk cette semaine.

Le vent tourne pour Elon Musk dans l’entourage de Donald Trump. Encensé à ses débuts, le magnat de la tech voit son influence s’effriter au sein du dispositif « MAGA », rattrapé par des résultats en demi-teinte, des méthodes jugées brutales et des querelles internes de plus en plus exposées. Accusé d’ingérence, critiqué pour ses liens économiques avec la Chine et soupçonné de conflits d’intérêts, Musk semble désormais plus embarrassant qu’indispensable. Une disgrâce révélatrice des tensions à l’œuvre dans l’arrière-cour trumpiste.

Le constructeur automobile chinois BYD a vendu, pour la première fois, plus de véhicules électriques en Europe que Tesla. BYD a immatriculé 7.231 nouveaux véhicules électriques en avril.

Ma voiture me conduit. Mon IA me voit. Mon téléphone me suit. Voici quelques-unes des innovations, cette semaine, dans la galaxie d’Elon Musk.

Grok, l’IA d'Elon Musk, a relativisé le nombre officiel de victimes de la Shoah dans un post sur X.

Si Elon Musk a clairement exercé une influence majeure sur l'administration Trump, le pouvoir moins connu, mais sans doute plus influent, qui se cache derrière la présidence est Russell (généralement Russ) Vought. Vought est le directeur de l'Office of Management and Budget (OMB) - le centre névralgique des changements radicaux de l'administration.