Pendant que les Américains se bagarrent avant la présidentielle, la pantomime pitoyable, qui fait la « gloire » et caractérise la politique Française continue à culminer vers de nouveaux sommets.
16 septembre 2024Le Réseau Atlantico
Best-Of du 14 au 20 septembre
Denis Jacquet est fondateur du Day One Movement. Il a publié Covid: le début de la peur, la fin d'une démocratie aux éditions Eyrolles.
Pendant que les Américains se bagarrent avant la présidentielle, la pantomime pitoyable, qui fait la « gloire » et caractérise la politique Française continue à culminer vers de nouveaux sommets.
« Habemus Primus Minister ». Contrairement au protocole qui marque l’élection du Pape (toute comparaison étant purement contextuelle), la fumée avait largement envahi le ciel de la politique française bien avant son arrivée.
Emmanuel Macron reprend ce lundi les consultations, censées déboucher sur la nomination d'un Premier ministre. Après le spectacle des JO, nous assistons désormais au bal des nuls, des sans-médailles.
Le temps passe, la bêtise idéologique reste. Il est une crasse que le temps accumule au lieu de l’effacer, cette crasse porte 2 noms qui, comme Michèle, (Madame Castets devrait changer de prénom) vont très bien ensemble : Idéologie et démagogie.
C’est vrai, en France, on aime se plaindre. C’est dans notre ADN. Dans un pays dépressif, on ressent vite le besoin de d’évacuer des pensées négatives surabondantes.
78561. C’est le numéro qui avait été tatoué sur le bras de la jeune Simone dans le camp où elle fut envoyée. Elle y aura perdu son père, son frère, puis sa mère emportée par le typhus. Malgré cet épisode, qui ferait de n’importe quelle personne normale l’ennemie à vie des Allemands et de toute forme de haine et de haineux, elle est devenue la Reine de la mansuétude.
C’est une honte pour la démocratie française, une leçon que ceux qui voulait dégager les politiques traditionnels et se sentent volés, sauront retenir en 2027.
Le président voulait que les Français se reprennent et clarifient la situation. Leur message ne peut pas être plus clair, et ils vont se reprendre, mais au même jeu, la semaine prochaine, afin de lui signifier définitivement ce qu’il ne veut pas écouter depuis déjà plusieurs années, en lui montrant par la force ce qu’il ne voulait accepter de son plein gré, à savoir leur ras le bol, leur volonté d’en finir avec cette Macronie prétentieuse, arrogante, sourde, autocentrée et pétrie de certitudes déconnectées. « La Macronie, en marche………arrière ».
Cette collection de gamins issus des cours de récréation de la politique française, de Attal à Bardela, m’inquiète, non pour leur éventuel programme politique, mais pour leur totale incompétence.
La moitié des Français ont estimé que cette élection ne méritait pas de franchir les quelques centaines de mètres à pied qui les séparent des urnes. La moitié des Français, que l’on peut blâmer et comprendre à la fois.
On a beaucoup de mal à comprendre l’acharnement à créer de meilleures versions de nous-mêmes, afin de mieux nous remplacer, si le bien de l’homme est véritablement le but ultime de toute évolution sociétale poussée par la technologie.
L’Europe est désormais un nain utile, utile aux autres, mais pas à ses propres acteurs et citoyens.
C’est un exercice toujours intéressant, de voir le dirigeant d’un des plus grands pays au monde, venir à la rencontre de nains qu’il domine de la tête au pied.
Portrait d’une France des lâches, qui faute de connaître son histoire et celle de ceux avec qui elle pactise, serait prête à reproduire ses plus grandes erreurs passées.
La France dépense des mille et des cents et s'endette à tout va. De quoi financer l'investissement, en théorie, si l'état n'étais pas aussi mauvais juge de ce qui peut ou va marcher...
Avec un esprit critique et une ouverture d'esprit, la réalité politique et économique peut apparaître sous un jour nouveau.
Les prévisions du gouvernement étaient optimistes, faute de réalisme. La réalité à la tête dure et les faits sont têtus.
Il y a une réponse facile, ce ne sera pas l’Europe ! Cela, c’est fait. Pas de débats. Malheureusement.
Chaque année, un feu d’artifice explose aux 4 coins du monde, célébrant la femme, cet être exceptionnel que l’on sous-traite toute l’année, depuis la nuit des temps, mais que l’on aime feindre de porter aux nues, une semaine par an, avec un engouement où le marketing et la démagogie l’emportent clairement sur la réalité.
Bouchon à l’aller et au retour des congés de février. La Gaule est la terre du paradoxe total.