Alors que l’Assemblée doit se prononcer mardi 27 mai sur la légalisation de l’aide à mourir, les états d’âme traversent jusqu’aux rangs des partisans. Dans une lettre adressée à ses électeurs, le député macroniste Pierre Cazeneuve confie ses doutes, reconnaît les zones grises du texte, et regrette l'absence de référendum. Un témoignage rare, à la hauteur des enjeux éthiques d’une loi qui bouleverse les consciences autant que les équilibres politiques.
26 mai 202501