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À Copenhague, le 1er octobre, les chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne se sont réunis pour un sommet consacré à la défense du continent, tandis que le 2 octobre, ce sont plus de 40 dirigeants de la Communauté politique européenne, membres et non-membres de l’UE, qui se retrouvent autour de la table. Deux rendez-vous où se joue la crédibilité d’une Europe encore dépendante des États-Unis pour sa sécurité.

Tout se passe comme si le moral des agents économiques était branché sur le climat politique. Plus les incertitudes s’accroissent, plus la conjoncture se tasse. Le monde des affaires commence à trouver que Sébastien Lecornu tourne en rond.

Première puissance industrielle européenne, l’Allemagne traverse une crise profonde : croissance en berne, modèle automobile dépassé, dépendance énergétique mal maîtrisée. Derrière la façade, c’est tout un système qui s’essouffle.

Voilà ce que révèle la publication des comptes détaillés du PIB du 2ème trimestre de 2025 par l’Insee.

En s’attaquant aux « boomers », le Premier ministre a relancé le débat sur les rentes en France. Mais les retraités ne sont pas les seuls concernés : de nombreux revenus échappent à la concurrence et reposent sur des transferts issus du travail.

La crise des finances publiques ne se réduit pas à un débat de chiffres. Derrière la question budgétaire, se cache celle du management d’une fonction publique hypertrophiée, dont les effectifs et la masse salariale pèsent lourdement, mais dont le fonctionnement bureaucratique interroge tout autant.

L’économie tricolore devrait progresser à un rythme proche de celui observé au trimestre précédent (+0,3%), indique la Banque de France. Sur l’année 2025, la croissance française pourrait ainsi s’établir à 0,7%, conformément aux attentes du gouvernement.

Une croissance plus élevée qu’attendue, tirée par les stocks et un léger rebond de la consommation des ménages. Cette dernière enregistre un léger sursaut, de 0,3%, selon l’Institut national de la statistique (Insee), qui dévoile ces chiffres ce mercredi 30 juillet.

Une étude mondiale démontre que l’élévation du niveau d’études ne garantit ni la richesse d’un pays, ni l’employabilité des jeunes diplômés.

Alors que Donald Trump célèbre ses cent premiers jours à la Maison Blanche pour son second mandat, les États-Unis enregistrent une contraction surprise de leur PIB au premier trimestre. Une déconvenue économique marquée par la hausse des importations et une politique douanière contestée.

L’Insee a dévoilé des chiffres relatifs au déficit public français. Une nouvelle augmentation de la dette a été enregistrée.

Alors que le ministère de l’Economie prétend que la création d'usines ou que les extensions de sites industriels en 2024 sont restées supérieures aux fermetures, la tendance est malheureusement négative, notamment en termes d’emplois.

Les taux ne sont pas élevés, ils sont simplement revenus à un niveau historiquement normal.

La Banque centrale russe a nettement relevé ses prévisions d’inflation pour 2025. Cette mauvaise nouvelle intervient au moment où les difficultés pour l’économie russe s’accumulent après trois ans de conflit en Ukraine et de sanctions occidentales.

L'instabilité politique a un coût qui rend financièrement rationnelles les concessions sur les objectifs de réduction du déficit budgétaire. Mais jusqu’où ?

Donald Trump a fait toute sa campagne contre l'inflation Biden. Mais va-t-il la faire renaître ?

Le rapport Draghi sur la compétitivité européenne a - enfin - été publié. Qu'en retenir ?

Les mesures annoncées par Michel Barnier pour réduire les dépenses publiques vont-elles nuire à la croissance ? La France aura-t-elle structurellement des difficultés économiques tant que la BCE ne changera pas de stratégie ?

En dépit de la force et de l’urgence des questions sociétales, culturelles, religieuses ou idéologiques, la contrainte économique finit toujours par imposer les priorités à l’action politique. La France n’y échappera pas, sauf à tomber dans le chaos.

Une étude menée par des enseignants de l’Université Columbia et de la New York University Shanghai dévoile le coût du poids de la bureaucratie et de la complexité administrative sur le PIB de différents pays.