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Alors que le marché français des télécoms pourrait connaitre un tournant majeur, Altice France, propriété de Patrick Drahi, et maison mère de SFR, vient de rejeter l'offre conjointe de Bouygues, Orange et Free à hauteur de 17 milliards d'euros.

Le projet de budget 2026 présenté par Sébastien Lecornu à l'assemblée ce mardi 14 octobre a été qualifié de "droite sociale" mais mérite-t-il réellement ce qualificatif ou assiste-t-on à une opération de communication politique de la part d'un gouvernement obsédé par sa survie et forcé à un numéro d'équilibriste fragile ?

Alors que le futur gouvernement conduit par Sébastien Lecornu prépare son premier budget, le député RN Jean-Philippe Tanguy a déclaré mardi sur TF1 que son parti ne voterait pas de motion de censure si le texte prévoyait des baisses d’impôts ciblées sur les classes moyennes et populaires, ainsi qu’une réduction effective des dépenses publiques.

Selon une étude du CAE, rattaché directement au Premier ministre, le coût des dépenses publiques serait ainsi gonflé de 30 milliards d’euros. Le chiffre est énorme : il représente pratiquement ce que le gouvernement devrait économiser pour faire baisser son déficit budgétaire.

Considérées comme étant trop coûteuses, les ruptures conventionnelles sont dans le viseur du gouvernement Bayrou. Pour réduire les dépenses, le ministère du Travail envisage de restreindre son accès ou de réduire les indemnités.

Bercy va s’occuper des chefs d’entreprise et François Bayrou des corporatismes, des fonctionnaires, des retraités qui auront tout l’été pour pleurer. Après les « câlins » que va confirmer aux chefs d’entreprise réunis à Aix-en-Provence ce week-end qu’il ne leur toucherait pas un seul cheveu… c’est François Bayrou qui laisse filtrer ce qu’il prépare côté des dépenses publiques pour redresser le budget 2026.

L’Insee a annoncé ce jeudi que l’endettement public français atteignait désormais 3.305,3 milliards d’euros soit 113% du PIB (contre 109,8 il y un an).

Pas besoin d’introduction ni de commentaire, les absurdités étatiques s’imposent d’elles-mêmes ! Voici des incohérences notoires et non exhaustives dans quelques domaines … En novembre 2024, Elisabeth Borne et Gabriel Attal ont déclaré "ne pas s'expliquer" pourquoi les déficits ont dérapé en 2024. Aidons-les !

Comme il l'avait fait lors de son premier mandat, Donald Trump laisse planer la menace d'une sortie de l'OTAN, à moins que les Européens contribuent davantage aux dépenses de défense.

Trop d’impôts d’un côté, trop de dépenses publiques sociales de l’autre, la Commission de Bruxelles, qui a déjà mis la France sous surveillance, considère qu’elle ne réussira pas à présenter le budget de rééquilibrage qui lui avait été présenté par Michel Barnier.

Quand le député Insoumis court le cacheton, c’est le Parlement qui en est pour ses frais.

A l’occasion de la COP29 à Bakou, Oxfam a calculé les émissions des jets privés, des yachts et des investissements polluants des milliardaires.

Après les nombreuses polémiques dans l’affaire Jeffrey Epstein, le roi Charles III a décidé de supprimer l'allocation annuelle de 1,2 million d'euros qui était accordée au prince Andrew.

La ministre de la Culture souhaite faire évoluer le Pass Culture. Plusieurs rapports ont pointé du doigt les limites du dispositif.

Le président argentin Javier Milei a annoncé son intention d'éliminer entièrement le déficit budgétaire l'année prochaine, réitérant ainsi ses promesses de discipline fiscale, malgré la récession qui frappe le pays.

Selon les données publiques officielles, le taux d'insécurité alimentaire aux États-Unis a atteint 13,5 % en 2023 -soit un Américain sur 8 et 47 millions de personnes concernées- en raison de la baisse des prestations publiques et de la flambée des prix des denrées alimentaires.

Il va falloir arrêter de se raconter que l’Education nationale en France est gratuite. C’est presque vrai dans le primaire et le secondaire, mais les études universitaires sont de plus en plus coûteuses. Le coût de la vie dépend beaucoup de la ville universitaire que l’on choisit.

Lucie Castets défend le programme de rupture du NFP. Les dépenses engagées par le Nouveau Front Populaire atteindraient 215 milliards d’euros. Le principal coût serait lié au retour à la retraite à 60 ans qui s’élève à 50 milliards d’euros par an.

Lucie Castets, la candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon, a remis la question des services publics au coeur des priorités politiques. Ses réformes et son projet vont-ils aggraver la situation des finances publiques ?

Le FMI confirme la résistance de l’économie française. Pour 2023, la prévision de croissance est réévaluée à la hausse à 0,75%.