Punaises de lit : le gouvernement organise une réunion interministérielle ce vendredi<!-- --> | Atlantico.fr
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Trains, cinémas, compagnies aériennes, hôpitaux, établissements scolaires … Les punaises de lit semblent se répandre partout
Trains, cinémas, compagnies aériennes, hôpitaux, établissements scolaires … Les punaises de lit semblent se répandre partout
©ROGER ERITJA / AFP

Psychose ?

Le but est de trouver « une réponse rapide » et « efficace » au phénomène, avait indiqué le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, mercredi.

Trains, cinémas, compagnies aériennes, hôpitaux, établissements scolaires … Les punaises de lit semblent présentes partout et l’exécutif veut trouver des solutions. Une réunion interministérielle aura lieu ce vendredi, dont l’objectif est répondre aux inquiétudes des Français et d'éviter de laisser la psychose se répandre.

« Le réchauffement climatique entraîne une recrudescence de ces punaises de lit dans l’ensemble des pays occidentaux », indiquait le porte-parole du gouvernement, ce mercredi, au sortir du conseil des ministres. Il ajoute que le sujet touchant divers aspects, comme « l’économie, à la santé, [le] transports, [le] tourisme », une « approche d’ensemble » est nécessaire.

Organisée à Matignon, la réunion interministérielle visera à trouver « une réponse rapide » et « efficace » pour traiter le problème et répondre à « l’angoisse des Français ». Elle aura aussi pour but d’établir un diagnostic afin de savoir si le phénomène se développe véritablement. Seront donc abordées les questions de la prévention, de la réaction et même de la « prise en charge » lorsqu’un logement est touché. 

L’exécutif se veut toutefois rassurant, espérant contenir la panique : mercredi midi, le ministre délégué chargé des Transports, Clément Beaune, affirmait ainsi que sur les 37 cas signalés à la SNCF et la dizaine à la RATP, aucun n’avait été avéré. Il a appelé à « ne pas tomber dans l’idée d’une accélération ou d’une recrudescence» du phénomène, ou dans « la psychose ou l’angoisse », un point de vue également partagé par le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.

Le Figaro

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