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Prières de rue : Marine Le Pen relaxée
©Reuters

ça, c'est réglé

La présidente du Front national avait comparé les prières de rue de musulmans à l'Occupation nazie. Elle était jugée pour provocation à la haine raciale.

Voilà une épine de moins dans le pied de Marine Le Pen. Après la déception des élections régionales, elle a finalement été relaxée par le tribunal correctionnel de Lyon, comme réclamé par le procureur général. 
Elle était poursuivie pour "provocation à la discrimination, à la violence ou à la haine envers un groupe de personnes à raison de leur appartenance à une religion." Quatre associations s'étaient constituées parties civiles, dont l’Observatoire national contre l’islamophobie du Conseil français du culte musulman (CFCM) et la Licra.
En 2010, elle s'était exprimée à propos des prières de rue des musulmans notamment à Paris. "Je suis désolée, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s'il s'agit de parler d'Occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça c'est une occupation du territoire", avait-elle déclaré, sous les applaudissements. "C'est une occupation de pans du territoire, des quartiers dans lesquels la loi religieuse s'applique, c'est une occupation. Certes, il n'y a pas de blindés, pas de soldats, mais c'est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants", avait-elle ajouté.
Lu sur le Figaro

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