Mort de Nahel : Macron va présider une nouvelle cellule de crise après une troisième nuit d'émeutes<!-- --> | Atlantico.fr
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Le chef de l'État, qui se trouve à Bruxelles pour un sommet européen, pourrait pour cela devoir écourter sa présence.
Le chef de l'État, qui se trouve à Bruxelles pour un sommet européen, pourrait pour cela devoir écourter sa présence.
©KENZO TRIBOUILLARD / AFP

Emeutes

Le chef de l'État, qui se trouve à Bruxelles pour un sommet européen, pourrait pour cela devoir écourter sa présence.

Après une troisième nuit de violences urbaines, en réponse à la mort de l'adolescent Nahel, tué par un policier, Emmanuel Macron va présider une deuxième cellule de crise interministérielle ce vendredi 30 juin à 13h00 à Paris, a annoncé l'Élysée.

Le chef de l'État, qui se trouve à Bruxelles depuis ce jeudi pour un sommet européen, pourrait pour cela devoir écourter sa présence et rentrer avant la fin, si les discussions avec ses homologues ne sont pas terminées. Il doit tenir une conférence de presse avant de quitter le Conseil de l'Union européenne.

Jeudi matin, le président avait déjà convoqué une première réunion de crise avec les ministres et directeurs d'administration concernés, dans le centre ad hoc situé au ministère de l'Intérieur, avant de partir pour Bruxelles. Il avait dénoncé des violences «injustifiables». Dans la capitale belge, il n'avait pas pris la parole en public par la suite.

Dégradations de bâtiments publics, pillages et échauffourées sporadiques ont encore secoué dans la nuit de jeudi à vendredi de nombreuses villes de région parisienne et de province, après la mise en examen jeudi pour homicide volontaire du policier qui a tué Nahel mardi à Nanterre, et qui a été écroué. Plus de 420 personnes ont été interpellées au cours de cette troisième nuit de violences, alors qu'un dispositif massif avait été déployé par les forces de l'ordre.

Le Figaro

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