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Hamon, Le Pen, Lassalle… les réactions de la matinée
©Capture d'écran France 2

J-10

Le candidat socialiste a critiqué Pierre Gattaz tandis que Jean Lassalle n'a pas ménagé son ancien ami François Bayrou.

Benoît Hamon : "Quand M. Gattaz a demandé 40 milliards d'euros, il les a eus. [...] Plutôt que de créer des emplois, les grosses entreprises ont distribué des dividendes" affirme le candidat socialiste, sur Public Sénat et Sud radio. Face aux critiques du Medef, il assume : Dire "j'aime l'entreprise", c'est comme dire "j'aime les poissons". Y a des requins et des sardines..."

Marine Le Pen : "François Hollande soutient Macron, mais il n'ose pas le dire. [...] Ils sont coresponsables de la politique menée, de l'augmentation du chômage, de l'augmentation de la dette" explique-t-elle sur France 2.

Clémentine Autin : "C'est à Benoît Hamon de décider de se retirer ou non" souligne cette proche de Jean-Luc Mélenchon, sur France Info. "Ses responsabilités sont historiques. S'il décidait de se retirer, ce qui semble peu probable, cela amplifierait la dynamique de Jean-Luc Mélenchon. Mais la décision lui revient, et elle n'est pas simple."

Mathias Fekl : Sur RTL, le ministre de l'Intérieur a promis "plusieurs centaines" de places "dans les prochains jours" pour accueillir les migrants du camp de Grande-Synthe, ravagé par un incendie. "Il y a des gens qui ont fui, certains reviennent maintenant vers les gymnases qui ont été ouverts. Nous sommes là pour pouvoir les accueillir sur l'ensemble du territoire français dans les centres d'accueil et d'orientation."

Jean Lassalle : Sur Europe 1, le berger n'a pas mâché ses mots contre son ancien ami François Bayrou qui a rejoint Emmanuel Macron. "Il a fait un choix d’opportunité que je n’aurai jamais fait, parce qu’il a fait un choix qui est aux antipodes de tout ce qu’il a toujours dit. Je ne comprends pas, mais, je sentais qu’il n’était plus dans le coup".

François Asselineau : "M. Hamon, c'est un ultra-européiste explique-t-il sur Europe 1. "Ca veut dire que, forcément, parmi les électeurs de M. Mélenchon, il y aura des cocus, excusez-moi. Et on voit très bien où ça va pencher. Mélenchon, c'est le Tsipras français."

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