Anne Hidalgo annoncera « à l’automne » si elle est candidate à l’élection présidentielle et précise qu’elle n’est « pas favorable à une primaire »<!-- --> | Atlantico.fr
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La maire de Paris et candidate à sa succession, Anne Hidalgo, pose lors d'une séance photo à Paris le 11 février 2020, avant l'élection municipale.
La maire de Paris et candidate à sa succession, Anne Hidalgo, pose lors d'une séance photo à Paris le 11 février 2020, avant l'élection municipale.
©BERTRAND GUAY / AFP

Avenir de la gauche

Anne Hidalgo s’est confiée à la rédaction du JDD ce dimanche 2 mai. Interrogée sur ses ambitions politiques, notamment pour 2022, la maire socialiste de Paris a fait savoir qu'il sera temps de prendre une décision « à l'automne ».

Anne Hidalgo a été questionnée par la rédaction du JDD sur son avenir et ses ambitions politiques, notamment en vue de l’élection présidentielle. La maire de Paris a fait savoir qu'il sera temps de prendre une décision « à l'automne ».

« Avoir été élue et réélue maire de Paris, être une femme, avoir la crédibilité liée à l'exercice des responsabilités : tout cela fait de moi une personnalité qui peut porter un message politique (…) A l'automne, ce sera le moment de prendre une décision ».

Anne Hidalgo a précisé qu'elle était prête à « convaincre qu'il y a une opportunité pour créer une nouvelle offre politique de gauche, écologiste, féministe et profondément républicaine ».

Interrogée sur sa place dans les sondages, Anne Hidalgo étant créditée de 10 % des intentions de vote, elle considère que « si les sondages racontent la même chose depuis des mois, c'est qu'il n'y a pas d'offre politique différente ». La maire de Paris souhaite « parler au plus grand nombre dans les mois qui viennent ».

« Nous avons beaucoup de travail devant nous. J'y prendrai toute ma part. Pour cela, je m'appuie sur un réseau de maires, par la plateforme « Idées en commun », afin de faire germer des propositions. (…) Je trace ma route ».

Elle a également indiqué qu'elle n'était « pas favorable » à une primaire pour désigner le candidat de la gauche à la présidentielle. Selon Anne Hidalgo, ce mode de scrutin « mobilise surtout les militants ou les sympathisants. Aujourd'hui, personne n'a la clé pour savoir comme cela va s'orchestrer ».

Le JDD

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