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Islam conquérant : le livre qui sonne le glas pour la France
©Reuters

Soumission?

Peut-être est-il déjà trop tard ? Peut-être pas si on se décide enfin à résister…

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Il y eu un premier livre en 2002 : Les territoires perdus de la République. Il avait été écrit par Georges Bensoussan et un collectif d'enseignant. Il dressait un tableau effrayant de ce qu'on n'avait plus le droit d'enseigner dans nos écoles sous peine de voir de nombreux élèves, plus attachés à la lecture du Coran qu'à celle de Victor Hugo, mettre leurs établissements à feu et à sang. Ce livre sonnait le tocsin. Un peu comme dans celui Günter Grass où le petit Oskar tape désespérément sur un tambour pour alerter, et en vain, l'Allemagne sur la prolifération des chemises brunes dans ce pays.

Personne, oui personne n'a voulu écouter le tambour du petit Oskar. Personne, oui personne n'a voulu entendre le tocsin des Territoires perdus de la République. C'est pourquoi Georges Bensoussan récidive 14 ans après avec un livre (Une France soumise, ed. Albin Michel) qui n'a, hélas, de moins en moins  à voir avec le tocsin de 2002. Cette fois ci c'est plutôt "Pour qui sonne le glas". Une enquête implacable qui montre une France telle qu'en elle-même elle a abdiqué de son identité. Et s'est résignée, gouvernements après gouvernements, gauche comme droite (un peu moins quand même) à changer de visage.

La conquête s'est faite patiemment. De façon tenace et méthodique. Pendant que la France était tétanisée par des attentats particulièrement sanglants, l'islamisme "soft" tissait sa toile. Des parents qui exigent que leurs filles soient dispensées de gymnastique à l'école… Les mêmes qui réclament que les cantines scolaires servent des repas halal… Des mosquées qui poussent comme champignons après la pluie… Des quartiers ou la djellaba et la burqa sont un sauf conduit pour ne pas se faire insulter ou agresser…

Des parties de nos villes où les "étrangers", c'est à dire les policiers, les urgentistes, les chauffeurs de bus et les pompiers se font caillasser… Des hôpitaux où des femmes souffrantes sont accompagnées par leurs pères, frères, cousins, maris, qui réclament avec une violence extrême qu'elles ne soient pas soignées par des hommes… Des boucheries halal (et donc connotées religieusement) qui prennent la place des boucheries traditionnelles… Des associations militantes et hargneuses qui trainent en justice tout suspect d'"islamophobie" (c'est le cas de Georges Bensoussan)… Et partout comme une lame de fond : la haine. La haine de la France et des mécréants qui l'habitent…

Le glas? Peut-être pas encore. Car ce livre se veut aussi un manuel de résistance comme le montre par exemple les témoignages d'Héloïse et de Marcel qui travaillent dans un hôpital de la région parisienne où l'Islam entend dicter sa  loi. "Nous ne savons pas combien de temps nous tiendrons car tous les deux nous habitons un quartier où la religiosité progresse. Mais rien ne justifie que nous désertions".

Pour George Bensoussan et son équipe ce sont des résistants. Pourrait-on alors appeler ceux contre lesquels ils résistent des occupants ?

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