Emeutes urbaines : l’antisémitisme était au rendez-vous<!-- --> | Atlantico.fr
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Un homme passe devant une inscription en hommage à Nahel.
Un homme passe devant une inscription en hommage à Nahel.
©CHARLY TRIBALLEAU / AFP

Fidèles à leurs postes

A cela, rien de surprenant.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Elia Korchia, le patron du Consistoire de France, s’est confié au Figaro. Le débat a porté sur les émeutes. Un vaste sujet. En tant que Français, Korchia a eu des mots cinglants sur les émeutiers qui ont mis la France à feu et à sang. 

Mais en tant que Français de confession juive, il a déclaré que les émeutes “se sont accompagnées d’actes antisémites”. Des insultes, et même des coups. 

L’antisémitisme a-t-il dit, “est en nette progression dans notre pays”. Et  les émeutes y sont pour beaucoup. Pourquoi ? La réponse est la suivante : “la composition ethnique et religieuse des émeutiers !”.

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