Contenus en rapport avec le mot-clé antisémitisme

Dans Les Nouveaux Antisémites, Nora Bussigny a infiltré manifestations, groupes de paroles, happenings, boucles Telegram en France, à Bruxelles et à Columbia, là où sévissent les rangs les plus radicaux de l’ultra gauche. Il en ressort que la génération Z (née entre la fin des années 1990 et le début des années 2010) est la plus perméable aux discours antisémites, voire d’apologie du terrorisme.

Quarante-trois ans après l’attentat antisémite de la rue des Rosiers à Paris, un nouvel épisode marque le dossier. Mercredi soir, l’Autorité palestinienne a annoncé l’arrestation en Cisjordanie de l’un des principaux suspects de l’attaque de 1982, ouvrant la voie à une possible extradition vers la France. Cette avancée intervient à un moment symbolique, à quelques jours de la reconnaissance officielle de l’État de Palestine par la France à l’ONU, et relance l’espoir des familles de victimes de voir enfin la justice rendue.

À la veille d’un discours historique devant l’ONU, Emmanuel Macron a multiplié les dîners, entretiens et coups de téléphone pour convaincre les Français juifs que sa décision de reconnaître un État de Palestine ne trahissait ni leur sécurité ni son engagement contre l’antisémitisme. Mais malgré les efforts, le malaise grandit.

Le philosophe Raphaël Enthoven, qui a qualifié La France insoumise de parti « passionnément antisémite », sera jugé le 23 septembre pour « injure publique ». L’audience pourrait poser la question de la critique de l’antisémitisme dans le débat politique français.

Un livre explosif, Les Complices du mal d’Omar Youssef Souleimane, accuse La France insoumise de liens avec des réseaux islamistes. LFI a tenté d’en bloquer la parution, déclenchant une polémique nationale.

Spécialiste de l’amalgame entre judaïsme et soutien au gouvernement Netanyahou, le leader insoumis recadre le patron du PS pour plagiat maladroit de ses meilleurs sketches.

Cinq chercheurs annulent leur participation à un séminaire organisé par le musée d’histoire du judaïsme de Paris, dérangés par la présence d’une spécialiste du Moyen Âge de l’université de Jérusalem.

Lors de son dernier entretien accordé à la chaîne YouTube Thinkerview, l'activisme pro-palestinienne Rima Hassan a entrepris de relativiser les chiffres de l'antisémitisme en France récoltés par le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France). Nouvelle provocation ou stratégie consciente ? Décryptage.

L’acceptation par l’Université Libre de Bruxelles de nommer la promotion de droit et criminologie au nom de Rima Hassan, députée européenne assumant publiquement un antisionisme virulent, soulève de vives interrogations sur la dérive identitaire et idéologique d’une institution fondée sur les principes du libre examen. En France, des intellectuels comme Bernard Kouchner, Pascal Bruckner, Luc Ferry et Élie Chouraqui sont abasourdis. Celle qui affirme « de la rivière à la mer » c’est-à-dire la destruction d’Israël, qui n’a jamais condamné l’organisation terroriste Hamas, qui était un soutien fervent et déclaré du régime sanguinaire d’Assad en Syrie, et qui depuis 2023 fait l’objet d’une enquête judiciaire en France pour apologie du terrorisme est adulée à l’ULB !

László Bernát Veszprémy alerte : l’Europe connaît une résurgence antisémite d’une ampleur inédite depuis les années 1930.

La Belgique a annoncé qu’elle reconnaîtra officiellement l’État de Palestine à l’Assemblée générale des Nations Unies, prévue du 9 au 23 septembre à New York. Elle rejoint ainsi plus d'une dizaine de pays occidentaux prêts à rejoindre le mouvement initié cet été par la France.

À l’initiative du philosophe Daniel Salvatore Schiffer, un collectif d’intellectuels, d’artistes et de responsables politiques dénonce le choix de l’ULB de donner à la promotion 2025 de sa Faculté de droit et de criminologie le nom de Rima Hassan, eurodéputée LFI.

Dans une lettre rendue publique mardi 26 août, Emmanuel Macron a directement répondu aux critiques de Benyamin Netanyahou, qui l’accusait de nourrir l’antisémitisme en France par son soutien à la reconnaissance d’un État palestinien.

Alors que les tensions entre Paris et Tel-Aviv se sont encore accentuées — Benjamin Netanyahu reprochant à Emmanuel Macron d’attiser la haine antisémite —, le président du Crif a réagi mercredi. Il a souligné que « la lutte contre l’antisémitisme est une cause trop fondamentale pour être transformée en sujet de discorde diplomatique ».

Paris dénonce des propos « inacceptables » après que l'ambassadeur ait exprimé « sa profonde inquiétude face à la flambée de l’antisémitisme en France », critiquant fortement l'initiative du président visant à reconnaître l'Etat de Palestine.

Benyamin Netanyahou a adressé une lettre à Emmanuel Macron à la suite du projet de reconnaissance par la France d’un Etat palestinien.

Le ministère des Affaires étrangères a publié un communiqué pour évoquer la situation de l’étudiante au cœur d’une récente polémique.

Le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a annoncé vendredi 1er août geler les évacuations de Gazaouis le temps d’obtenir les conclusions de l’enquête concernant une étudiante de Sciences-po Lille accusée d’avoir tenu des propos antisémites. Le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a annoncé vendredi 1er août geler les évacuations de Gazaouis le temps d’obtenir les conclusions de l’enquête concernant une étudiante de Sciences-po Lille accusée d’avoir tenu des propos antisémites.

Sciences Po Lille a expliqué à l’AFP avoir « accueilli cette étudiante sur proposition du consulat général de France à Jérusalem ».

Joshua Zarka, ambassadeur d’Israël en France, estime que l’expulsion d’adolescents français de confession juive d’un avion Vueling la semaine dernière symbolise une « vague d’antisémitisme dans le monde ».