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Valérie Trierweiler amoureuse ? : la révélation de Nicolas Sarkozy ; François Hollande : en visite chez Val ; Marie Drucker enceinte : et de qui ?
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Revue de presse people

Mais aussi les détails des révélations de Valérie Trierweiler dans la presse étrangère et... dans "Paris-Match", son projet d'adaptation de "Merci pour ce moment", Ingrid Chauvin pas flambante à la veille de l'adoption, l'interview de Charlène de Monaco à J - 15 de l'accouchement et, et, et... Nabilla décidée à apprendre le français ! Hou, zallez pas vous ennuyer avec la RP !

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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Une vidéo et des photos : grâce à "Closer", on sait depuis vendredi que Nabilla ne va pas si mal que ça... Mieux, elle est transformée. Ah, ben, comment ça ?

Nabilla transformée

"En prison, elle découvre la solidarité entre codétenues", titre "Closer". Sur les images diffusées par le mag, on la voit en effet discuter, et même rire avec ses compagnes d'infortune. Normal, vous me direz... Ben, pas tant que ça, en fait. Plus habituée à se la jouer perso que "solidaire", la bimbo avouait encore il n'y a pas si longtemps et sans que cela ne semble lui poser de problème qu'elle n'avait pas beaucoup d'amis. Deuxième chose : la poupée siliconée s'avère, au naturel, "plus jeune, plus fraîche. Plus jolie, aussi", remarque le people. Mais il y a mieux. Figurez-vous... figurez-vous que la belle a décidé de prendre en main son éducation. "Depuis quelques jours, nous informe "Closer", elle met son temps à profit en suivant des cours de français et de coiffure". Nabilla qui apprend le français et un métier ! Gaffe, si ça continue, on ne la reconnaîtra plus !

Et pendant, ce temps-là, la mère de Nabilla...

Que la belle soit capable de se secouer et d'agir est plutôt rassurant. A-t-elle le choix, en même temps ? Privée de visite, elle ne peut compter que sur elle. Le fait est que son sort ne semble pas préoccuper outre mesure sa môman... "On l'imaginait au trente-sixième dessous (...), mais Marie-Luce a de la ressource. Samedi dernier, ironise "Public", photos à l'appui, la mère de Nabilla s'est offert une virée dans une des boîtes les plus branchées de Genève pour se changer les idées. "Elle est arrivée vers 1 h 45 avec quatre ou cinq amis dont le beau-père de Nabilla (confie un témoin). Ils ont pris une table avec des bouteilles d'alcool et elle est allée se défouler sur la piste de danse pendant plus d'une heure"". Faut ce qu'il faut, hum !

Ingrid Chauvin pas flambante

D'une mère, l'autre... Huit mois après la perte de sa fille, "Gala" est allé rendre visite à Ingrid Chauvin. "On dit souvent que les femmes sont plus courageuses pour affronter les drames. Ressentez-vous cela ?" lui demande le mag. —"Sincèrement, je ne le pense pas, répond-elle. D'autant que la priorité, pour nous, est de faire face à deux. J'ai eu plusieurs fois envie de me jeter par la fenêtre et, je l'avoue, si Thierry n'était pas là, je ne pourrais pas survivre. Vraiment pas. C'est indicible comme douleur. Même quand j'écris pour essayer d'expliquer sa mort, j'ai la sensation qu'aucun mot ne permet réellement d'exprimer ce que je ressens. C'est abyssal, cette douleur !" Il faut du temps, Ingrid... ça ne se fait pas comme ça, faut s'accrocher, hé !

Refaire un enfant ?

Pour faire face et tenter de sortir la tête de l'eau, l'actrice s'investit à fond dans le travail, nous dit "Gala". Il y a le livre auquel elle travaille, mais aussi "un téléfilm, "Rumeurs", diffusé le 9 décembre, un autre en tournage sous la direction de Thierry Peythieu, (son) mari, (et) une pièce en janvier". —"Je pense que je ne peux pas faire plus. Sincèrement", commente l'actrice, simplement. —"Donner de nouveau la vie, ne serait-ce pas le projet ultime ?", remarque le journal. —"Ce sont les tout premiers mots de mon livre, répond Ingrid Chauvin : "Une nouvelle grossesse, bien sûr que j'y pense..." Mais comment échapper à l'angoisse que ce qui s'est passé puisse se reproduire. Et puis mon âge me faisait penser que Jade était le bébé du dernier espoir aussi. Je suis traversée par un mélange de désirs contradictoires. D'abord, quand on a connu la maternité et qu'on l'a tant attendue, on a du mal à imaginer sa vie sans enfant après. En même temps, on a peur de vouloir le remplacer. Ensuite, il m'est difficile d'envisager de tomber à nouveau enceinte car j'ai encore la sensation d'avoir accouché il y a très peu de temps. Mais l'horloge biologique tourne et malheureusement j'ai l'impression que je dois accélérer le processus de guérison sinon ce sera trop tard. Enfin, après avoir subi un tel traumatisme, je me dis : "Est-ce que le corps voudra encore ?"" Ca en fait des questions... toutes bien naturelles, d'ailleurs.

Adopter ?

"Vous n'avez jamais pensé à l'adoption ?", demande "Gala". —"C'est en cours. Nous avons l'agrément. C'est un projet que nous avions abordé dès notre rencontre avec mon mari, explique Ingrid Chauvin. On s'était dit qu'après le premier enfant naturel, on aimerait adopter. Alors comme pour le travail, on maintient nos projets, nos objectifs. D'autant que Jade le savait, on lui disait souvent qu'elle serait la grande soeur d'une petite tribu. Aujourd'hui, on attend que le téléphone sonne. J'avais pensé à la Polynésie française, mais le mode d'adoption y est particulier, sinon, une petite pupille de l'Etat. C'est quelque chose qui nous fait du bien à imaginer, parce que c'est la vie, parce que c'est une rencontre d'amour extraordinaire. Et c'est quelque chose que l'on souhaite tous les deux profondément". On comprend. Ce serait bien, en même temps, que cela n'arrive pas trop vite, parce qu'il y a encore des bobos à cicatriser. La douleur sera toujours là, mais il faudrait arriver à lui "faire sa place", à délimiter son territoire : elle est trop vive, trop prégnante, là, visiblement.

Charlène : l'interview à J - 15 de l'accouchement

Roulement de tambour ! A la veille de son accouchement, qui devrait être provoqué à la mi-décembre (voir la RP de samedi dernier), Charlène de Monaco a accordé un entretien à "Gala" ! En voilà un joli coup, dis donc... C'est à se demander pourquoi le mag ne l'a pas affiché en couverture... L'interview n'aurait-elle pas été à la hauteur des attentes du journal ? Il est vrai que les deux tiers du papier sont consacrés — surprise ! — à l'action caritative de la princesse. Quant au tiers restant... heu, on vous laisse juger, hein ? "Nous saurons guider (nos enfants) pour qu'ils sachent faire face à leurs responsabilités futures, qu'ils respectent leurs prochains, soient attentifs aux autres, ouverts sur le monde", dit Charlène. Au chapitre des "valeurs fondamentales pour qu'ils puissent se construire", l'épouse d'Albert II indique "le travail, le courage, le sens du devoir, l'amitié, l'honnêteté, l'humilité". Et l'amour des petits oiseaux ?

Deux garçons ou deux filles ?

Est-ce par dépit ou tout simplement pour faire bon poids ? A la veille du royal accouchement, plutôt que Charlène et son interview, "Gala" a, étrangement, choisi de mettre en avant sa belle-soeur Caroline... et cela dans un rôle plutôt inattendu : celui de grand-mère ! "Tout l'amour du monde unit la princesse à l'aîné de ses petits-enfants, Sacha, âgé de vingt mois", nous dit le journal. Plus que l'article en lui-même, ce sont les photos qui informent ici : c'est la première fois, en effet, qu'on découvre le minois du fils d'Andrea. Sur six pages, ça fait quand même pas lourd, lourd... Mais, mais, mais... il se pourrait qu'un scoop, un vrai, se soit glissé entre les lignes du dossier. Alors que depuis des semaines, on nous affirme que Charlène attend deux garçons, le magazine laisse entendre que les jumeaux sont en fait... des jumelles. Bah ça, alors ! "La coutume veut que la venue au monde d'une fille ou d'un garçon soit saluée respectivement par 21 ou 101 coups de canon, rapporte le mag. Cette fois, annonce le Palais dans un communiqué, 42 coups seront tirés du Fort Antoine". Holà ! 42 coups, deux fois 21 coups, autrement dit le traitement qu'on réserve par tradition aux filles (qui méritent, apparemment, cinq fois moins de coups de canon que les garçons). Les futurs héritiers du trône monégasque seraient-ils en fait des héritières ? Pour une surprise, ce serait une belle surprise ! Mais peut-être que la décision du Palais tient simplement au fait qu'il est difficile de tirer 202 coups de canon... !?

Marie Drucker enceinte

Fille ou garçon ? On ne sait pas. En revanche, d'après "Public", Marie Drucker serait "enceinte de quatre mois". A "presque quarante ans", note le people. "Le futur papa, Mathias Vicherat, est à 35 ans le directeur du cabinet d'Anne Hidalgo, maire de Paris, précise le journal. Marie l'aurait rencontré lors d'un dîner chez des amis et son sang n'a fait qu'un tour pour ce jeune politicien à l'avenir prometteur. L'été dernier, le couple a emménagé dans un appartement du 8e arrondissement de Paris et aurait conçu le bébé dans la foulée". En voilà une jolie nouvelle... et une preuve que l'amour, le vrai, on le reconnaît tout de suite !

Marie Drucker : la question

"Closer" n'était-il pas au courant du nouveau bonheur de Marie Drucker ? Le people savait, visiblement, que la journaliste était amoureuse. Mais loin de s'en réjouir, il s'interroge : "Comment une journaliste d'une chaîne publique pourrait-elle traiter des informations concernant la sphère d'activité de son compagnon (...) sans faire toute la transparence sur le lien qui l'unit à ce grand commis de l'Etat ?" Le sujet est lancé...

Quand Valérie Trierweiler boycotte la presse française... sauf "Paris-Match"

S'il y a un sujet qui n'en finit pas d'être relancé, c'est le sujet Trierweiler. "La haine", titre "VSD", qui a suivi l'ex-Première dame "trois jours à Londres en pleine campagne de destruction". "C'est ici, dans la perfide Albion, raconte le mag, que "Rottweiler", comme la surnomme le "Daily Mail", a choisi d'accorder des interviews pour la première fois, boycottant la presse française — "pas digne de confiance" selon son agent — une presse qui la décrit comme "hystérique", "agressive" et "revancharde"". Heu, questions, là : c'est parce qu'elle est critique qu'elle n'est "pas digne de confiance", la presse française ? "Paris-Match", qui est un journal français, fait-il exception ? Parce que Valérie Trierweiler a parlé au mag. Oui, oui, elle lui a parlé. Faut croire qu'elle se sentait "en confiance"... Dans le journal qui la salarie, quoi de plus naturel, en même temps ?

Valérie starifiée

Hasard ? La photo de couverture choisie par "Paris-Match" est celle utilisée par le "Times", un journal anglais - donc "digne de confiance". Signé Mark Harrison, le cliché est, il faut le dire, des plus réussi : Valérie Trierweiler est somptueuse — une vraie star de cinéma. Réalisé par le même photographe, le cliché figurant en pages intérieures pour la double d'ouverture du sujet (de six pages) n'est pas moins impressionnant : prise en contre-plongée, baignée de lumière dans une pièce plongée dans l'obscurité, la journaliste, perchée sur ses inséparables platform-shoes, apparaît sculpturale, plus fatale que jamais. On a beau dire, savent y faire, les Anglais... comme ne manquent pas de le souligner "Match" et... Valérie Trierweiler. "Elle est mille fois plus jolie dans les journaux anglais que dans l'objectif des photographes politiques français qui suivaient le président Hollande et sa première dame, captant ses rictus crispés, note innocemment le journal. Visiblement, pour les Anglais, "Madam" Trierweiler fait partie de ces VIP qui font la une de la rubrique "Monde" dans l'actualité". Ah, c'est pas comme en France ! Ca change ! C'est pas trop tôt... semble sous-entendre le mag. "Aucun des grands journaux n'a raté la publication de "Thank You fo this Moment", poursuit-il. Immense photo, interviews, portraits, extraits exclusifs, tous lui réservent un traitement de star qui l'a surprise elle-même, dit le journal. "Ils sont tous arrivés avec des équipes fournies, maquilleur, coiffeuse... Une malle de robes pour le "Daily Mail", juste pour une photo ! Je n'ai jamais fait ça de ma vie !"" Ah ben, si tu étais inquiète, rassure-toi, Valérie : tu es parfaite, on dirait même que tu as fait fait ça toute ta vie.

Quand les Français de Londres ne veulent pas de Valérie

Est-ce le signe que les Français, décidément, sont méchants ?"Comme il y a 120 000 Français à Londres, raconte à "Match" Iain Dale, l'éditeur du livre, j'ai voulu organiser une séance de signatures dans une librairie du quartier français. Eh bien, les deux magasins sollicités m'ont dit non ! J'en déduis qu'il y a ici trop de Français connectés au gouvernement. Les libraires ont dû avoir peur de les froisser". Ah, mais ça frise le complot, on dirait... Limite si on nous dit pas que c'est François qui a tout machiné...

Un "bon coup", François ?

François Hollande n'est pas oublié. Au journaliste du "Sunday Times" qui lui demande ce qu'elle a bien pu lui trouver, elle répond "faussement légère, nous dit "Match" : "Les mystères de l'amour !... Oui, il est petit, il était gros, mais... il me faisait rire. Et il me faisait sentir que j'étais la seule personne au monde qui comptait pour lui"". Et schlaaa ! C'est pas fini, "Match" embraye avec la question posée par le journaliste du "Times", cette fois, "qui demande maladroitement si François Hollande est un bon coup. (...) Valérie se souvient : "Je suis restée interdite". (...) Finalement, (elle) reprend bravement la parole : "Tout ce que je peux dire, c'est qu'il m'a séduite. Et apparemment, je ne suis pas la seule !"" Pfiou, sauvé, François, t'es sauvé ! C'est pas passé loin, mais c'est passé.

Et tout à coup, "Valérie éclate en sanglots"

Mais "Paris-Match" sait aussi soulever les questions qui fâchent... "Quand Elizabeth Day, de "L'Observer", rapporte le mag, lui demande s'il n'est pas un peu indigne d'avoir publié de telles révélations sur celui qui reste tout de même le président de la République française, fonction sacrée, elle s'indigne : "Mais qui a désacralisé la fonction ? Et pourquoi une femme trompée et humiliée devant le monde entier devrait-elle se taire ? Une femme digne serait une femme qui se tait et subit ?" L'Anglaise en reste sans voix. Et ferme son magnéto. C'est à ce moment que Valérie éclate en sanglots"". Quelle chute ! Sacrément orchestrée... on dirait presque la conclusion d'un drame ou d'un film.

"Merci pour ce moment" : le film

Et puisqu'on parle de film, figurez-vous... figurez-vous que Valérie y songe, et fort, en plus. "La journaliste (...) a confié au "Sunday Telegraph" qu'elle espérait qu'un film soit tiré de son livre, raconte "VSD". Dans son rôle de jeune femme, elle verrait bien Maya, la très jolie petite copine de son fils aîné. Dans le rôle de François Hollande ? Euh... Elle ne voit pas très bien... : "Ce n'est pas Cary Grant"". Lui moche, elle belle, Val est au moins sûre de ça... D'après "Closer", l'expression exacte employée par la journaliste pour qualifier sa "belle-fille", et donc elle-même "jeune femme" par ricochet, est "spectaculairement ravissante". Rien que ça... Mais, au fait, à quoi ressemble-t-elle, cette jeune beauté ? A en juger par la photo publiée par "Closer", Maya est effectivement des plus charmante : un visage de madonne, à l'ovale parfait, de grands yeux expressifs et un peu rêveurs soulignés par l'arc très pur des sourcils, des cheveux châtain clair coupés en un long carré... à y regarder de plus près — mais c'est peut-être une histoire d'angle, de prise de vue (perso, nous, on ne l'a jamais vue, Maya) —, elle ressemble... elle ressemble — zallez pas le croire ! — elle ressemble à... Julie Gayet ! Ben oui. Si vous pouvez, vérifiez, c'est page 17, dans "Closer". Vous nous direz ce que vous en pensez...

Un mauvais film d'espionnage ?

Mais on n'en a pas fini avec cette histoire de film... "Mardi 22 novembre, peu avant d'embarquer dans l'Eurostar direction Londres, raconte "Closer", Valérie Trierweiler s'est attablée avec son fils, dans un café. Elle est loin de se douter que, mélangés à la foule, trois policiers en civil la suivent. Et ne la lâcheront pas avant que le train soit parti". Oh, mais qu'est-ce que c'est que c'est encore que cette histoire-là ?! Sur le cliché publié par le people, on voit la journaliste attablée à côté de ce qu'on suppose être son fils, puisqu'il est flouté, et puis... et puis rien d'autre, à part un monsieur de profil, légèrement flouté lui aussi, portant un sac à l'épaule. Un policier en civil ? Mystère... C'est bien obscur tout ça. Plus obscur, encore, le mag semble corroborer les dires de Valérie qui, dans la presse anglaise, "a raconté qu'elle se sentait espionnée" : "La désagréable impression de l'éphémère Première dame, affirme-t-il, n'aurait rien d'une chimère. Et l'affaire Trierweiler glisse dangereusement du vaudeville vers le roman d'espionnage". Hue, carrément ? On peut en savoir plus ? Pas vraiment... En guise de précision, "Closer" pose une question : "Qui paie pour la surveiller de si près ? L'Etat ? Et donc le contribuable ?" Si l'interrogation, en elle-même, paraît fondée, ce qui amène le journal à la formuler n'est pas tout à fait clair. Après tout, on sait comment, nous, que des policiers en civil étaient vraiment là, hmmm ? On veut bien faire confiance à "Closer", en même temps, est-ce qu'il n'exagère pas un peu quand il dit que "la désagréable impression de l'éphémère Première dame n'aurait rien d'une chimère" ? Hou, c'est compliqué, cette affaire ! Un poil embrouillé. En vrai, on est un peu largué. On est un peu comme... devant un film mal ficelé dont une scène capitale aurait disparu au montage.

La visite de François Hollande à Valérie Trierweiler

Le scoop de "Voici" est beaucoup plus convainquant. Pour appuyer ses dires, le people produit tous les clichés nécessaires. A moins que le numéro d'immatriculation de la "Laguna présidentielle" ait été trafiqué, on peut croire le journal quand il nous dit que "François Hollande a revu Valérie Trierweiler en secret". D'après "Voici", l'entrevue se serait déroulée "le 9 novembre au domicile de (la journaliste), 6-8 rue Cauchy, à Paris". Le journal ne manque pas de le souligner : les photos qu'il publie sont la preuve que Valérie Trierweiler n'a pas menti quand elle a affirmé, le 22 novembre, juste après la publication des photos du président et de Julie Gayet à l'Elysée, à la correspondante de "La Repubblica" que François Hollande était "venu (la) voir il y a quelques jours à peine". Et l'ex de préciser, au passage : "Il voulait m'assurer que Julie Gayet ne vient jamais à l'Elysée. A l'évidence, le mensonge nous aura accompagnés jusqu'à la fin..." Valérie 1, François 0, on dirait...

Comment François a "tenté le tout pour le tout"

D'après "Voici", "quand François Hollande a appris qu'elle partait à Londres faire la promo de son best-seller, il a tenté le tout pour le tout. Il y est allé, un soir, vers 18 h 30, avec sa Laguna conduite par son chauffeur personnel. (...) Non, il ne l'a pas oubliée. Non, Julie Gayet ne vient jamais à l'Elysée. Il aurait même tenté de la reconquérir, "comme si j'étais une élection", a-t-elle confié à la "Repubblica". Il est reparti vers 20 heures, content d'avoir essayé. Et il a pensé que, peut-être, ça suffirait à calmer Valérie". Encore raté, caramba ! Valérie/François : 2/0.

Valérie Trierweiler amoureuse : la révélation de Nicolas Sarkozy

Jusqu'où cela ira-t-il ? Depuis le "Embrasse-moi sur la bouche", en passant par le tweet de soutien au rival de Ségolène Royal, l'épisode rupture-cachets-hospitalisation, etc., etc., on a cru tant de fois qu'on avait touché le fond et on a constaté tant de fois qu'on pouvait encore, toujours, descendre plus bas, qu'on se demande ce qui pourrait, une fois pour toutes, couper le mal à la racine. Calmer définitivement "la jalouse", "la répudiée", "l'humiliée". Quand elle affirme à "Paris-Match" qu'"(elle veut) passer à autre chose", le mag, qui a son oreille, s'empresse aussi sec de préciser que "ce ne sont pas les visites de François Hollande chez elle, rue Cauchy, qui vont l'y aider". En clair, c'est parti pour durer, la dame n'a pas fini de ruminer. Tenez-vous le pour dit : elle n'a pas fini de se venger. Oh, pétard, c'est quand, qu'on en sort de cette histoire ! Ca va pas durer, comme ça, jusqu'à la fin du quinquennat ? Pour que "ça passe", que "ça lui passe", il ne reste en fait qu'un seul espoir. Un tout petit espoir. Son nom n'est pas très compliqué à deviner : il s'agit simplement de l'amour. Si Valérie, enfin, retombait amoureuse, alors on aurait la paix. Scoop ? D'après "L'Express", et comme on le rapportait jeudi dans la revue de presse des hebdos, Nicolas Sarkozy aurait "balancé devant des amis le nom de celui qui serait le nouveau compagnon de l'ex-première dame Valérie Trierweiler. Face à leur mine surprise, il (aurait joué) l'ingénu, trop fier de son coup : "Quoi, vous n'étiez pas au courant ?"" Bah, non, Nicolas, on n'était pas au courant... Ah, si seulement c'était vrai ! Si seulement elle était en train de décrocher ! Sur ce, les biquets, bon week-end ! Profitez ! Et surtout, aimez-vous bien, hmmm ?

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