Vincent Peillon penserait à une prime de 400 euros par an pour les professeurs des écoles<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Vincent Peillon envisagerait de verser une prime aux professeurs des écoles
Vincent Peillon envisagerait de verser une prime aux professeurs des écoles
©Reuters

Cadeau

Le ministre de l’Éducation nationale envisagerait de verser cette prime pour calmer la grogne.

Un geste financier pour calmer les enseignants ? D'après le journal Les Échos, Vincent Peillon serait prêt à lâcher 400 euros de prime par an aux professeurs des écoles. En plein bras de fer avec les enseignants du primaire à propos du retour à la semaine de quatre jours et demi, le ministre de l'Education nationale pourrait donc verser cette somme aux 300 000 professeurs concernés. Cette indemnité serait distribuée sur le modèle de l'indemnité de suivi et d'orientation des élèves, ou Isoe, que perçoivent actuellement leurs collègues du secondaire. D'après le quotidien, elle serait donc de 400 euros annuels.

La prime en question aurait pour but de rapprocher les sommes gagnées par les enseignants du primaire et ceux du secondaire après une volonté accrue du ministre de l'Education nationale sur ce sujet. Mais pour le moment rien n'est confirmé. La décision devrait être annoncée vers la mi-février, tout juste après le congrès de la première organisation syndicale de l'éducation, la Fédération syndicale unitaire, ou FSU.

Vincent Peillon pourrait également ouvrir à un personnel plus important la qualification "hors classe", qui leur garantit une retraite plus généreuse et qui concerne aujourd'hui moins de 2% des professeurs des écoles. Pour rappel, une partie des fonctionnaires, dont quelques enseignants, ont fait grève après l'appel de la CGT, de FSU et SolidaiRes. Leur but était de montrer leur impatience au gouvernement au sujet de leur faible pouvoir d'achat. Une prime pourrait ainsi calmer les revendications.

Lu sur L'Express

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !