Crash d'un avion : les passagers s'en sortent miraculeusement près de Castres<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Crash d'un avion : les passagers s'en sortent miraculeusement près de Castres
©

Y-a-t-il un pilote dans l'avion ?

L'avion de tourisme a fait une chute à 90 km/h dans une forêt du Tarn.

Les miracles arrivent ! C'est en tout cas ce que doivent se dire les trois passagers de l'avion de tourisme qui s'est crashé alors qu'il survolait la forêt du Sidobre dans le Tarn. Le pilote et ses deux élèves de l'ESMA Aviation Academy de Montpellier se sont en effet sortis indemnes du crash de leur monomoteur qui a pourtant fait une chute à près de 90 km/h après avoir eu ce qui semblerait être un problème de moteur. Les trois Français, qui avaient décollé de l'aérodrome d'Albi et se dirigeaient en direction de Montpellier, ont en effet rencontré des difficultés mécaniques de moteur, et ont alors perdu de l'altitude. L'avion est alors tombé en pleine forêt et a heureusement amorti sa chute avec les arbres, restant suspendu à deux mètres au-dessus du sol. Le pilote avait par ailleurs eu le temps de prévenir le centre de contrôle de l'aviation à Mont-de-Marsan.

Les trois personnes ont alors fait de l'auto-stop pour se rendre à la gendarmerie où ils sont arrivés sans aucune égratignure vers midi. La gendarmerie a expliqué que l'avion "est tombé comme une feuille morte, à une vitesse d'environ 50 noeuds (90km/h), avant d'être amorti par les branches des arbres de la forêt, très fournie à cette période", ajoutant qu'ils se sont alors "rendus avec les trois miraculés sur les lieux de l'accident pour constater que l'appareil était suspendu dans les arbres à la verticale". Les trois miraculés sont alors rentrés à Montpellier. On vous laisse deviner comment… En avion bien évidemment !

Lu sur 24 Matins

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !