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L'exécutif pris entre deux feux : médecins d'un côté, chefs d'entreprises de l'autre
©LOIC VENANCE / AFP

Coronavirus

Concilier sécurité sanitaire et survie économique : un défi qui concerne la France et tous les autres pays

A Londres le Daily Telegraph titre à la Une sur des "Appels à un nouveau confinement partiel". En Allemagne, alors qu'Angela Merkel rencontre les dirigeants des 16 Länder allemands, pour décider de nouvelles restrictions, et d'un éventuel confinement Tandis qu'à Londres, le Daily Telegraph titre, à la Une, sur les "appels en faveur d’un confinement national". En Suisse le Conseil fédéral doit annoncer de nouvelles mesures applicables sur tout le territoire. En Belgique, les élèves du secondaire au sein de la Fédération Wallonie-Bruxelles sont passé à l'enseignement à distance depuis ce mercredi. Comme on le voit la France n'est pas la seule concernée par l'aggravation brutale de la crise sanitaire.

Alors que l'exécutif est pris entre deux feux, médecins d'un côté, chefs d'entreprises de l'autre. Exemple en Bretagne : "L’épidémie de coronavirus s’accélère, depuis une semaine, en Bretagne  les services de réanimation approchent la saturation, avec 93,8 % de taux de remplissage au CHU de Rennes" selon Ouest France.

De leur côté les chefs d'entreprise s'inquiètent légitimement des conséquences des décisions qui seront prises dans les prochaines heures constatenr Les Echos. : " Il est encore trop tôt pour dire quelles seront précisément les conséquences économiques des mesures à venir mais déjà, depuis quelques semaines, l'activité économique ne progresse plus."

A l'ooposé "D'autres, nettement moins nombreux, se préparent au confinement parce qu'ils attendent une hausse de l'activité, comme au printemps dernier. C'est le cas de la grande distribution « qui anticipe une progression de la demande de certains produits et a déjà sécurisé leur approvisionnement », explique Jacques Creyssel, président de la Fédération du commerce et de la distribution."

 Ceci alors que pendant le précédent confinement, durant le printemps dernier, le PIB avait reculé en moyenne de 30 % chaque semaine mais on peut espéréer que le prochain tour de vis sanitaire qui sera annoncé ce soir n'aura pas le même impact : " Certains secteurs n'ont pas de raison de s'arrêter comme la construction l'avait fait en mars, les entreprises se sont adaptées et d'autres ont repris une activité normale. « L'industrie tient assez bien, à part l'aéronautique », estime ainsi Patrick Martin, le président délégué du Medef, "

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