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1er Mai : revivez les événements survenus lors des manifestations pour la fête du Travail
©MARTIN BUREAU / AFP

Journée de mobilisation

Les syndicats se sont mobilisés dans le cadre de la fête du Travail ce mercredi 1er mai 2019. Les autorités redoutaient des débordements en marge des rassemblements. 164.000 personnes ont manifesté dans toute la France dont 16.000 à Paris.

19h: 330 personnes ont été interpellées à Paris. 

Selon un communiqué de la CGT, "plus de 310.000 salariés, privés d’emploi et retraités (c’est à dire plus qu’en 2017 et en 2018) se sont rassemblés" ce mercredi 1er mai pour manifester contre le gouvernement. 

D'après le ministère de l'Intérieur, 164.000 personnes ont manifesté dans toute la France dont 16.000 à Paris. 

Selon BFMTV, 24 manifestants ont été blessés ce mercredi à Paris, et 14 membres des forces de l'ordre.

Des casseurs ont également tenté de pénétrer dans l'hôpital de la Pitié Salpêtrière.

18h30 : Selon la préfecture de police, 288 personnes ont été interpellées ce mercredi à Paris, et 15.306 contrôles préventifs ont été réalisés dans la capitale. 220 personnes sont gardées à vue. 

18h10 : La CGT a affirmé que 310.000 personnes se sont mobilisées en cette journée de la fête du travail. Le ministère de l'Intérieur a donné le chiffre de 151.000 manifestants à 14h.

Selon Le Figaro, un deuxième CRS a été blessé à Paris. Ce gardien de la paix de la compagnie de Metz a, comme son collègue de Toulouse, été blessé à la tête. Il serait actuellement pris en charge par les secours. 

Le maire du XIIIe arrondissement, Jérôme Coumet, a dévoilé sur Twitter que des casseurs avaient attaqué une école localisée rue Fagon, entre le boulevard Vincent Auriol et le boulevard de l'Hôpital, tout près de la place d'Italie.

Sur Twitter également, la confédération Force Ouvrière a publié une série de messages dans laquelle elle "déplore et condamne l'enchaînement de la violence dans le cadre de la manifestation syndicale à Paris, dont ont été victimes certains de ses militants en tête du cortège". 

Selon des chiffres du Figaro, les manifestants étaient "6.200 à Lyon, 5.500 à Marseille, 3400 à Nantes, 2400 à Montpellier, 2100 à Besançon, 1600 à Strasbourg ou encore 1500 à Lille", selon la police. 

A Bordeaux, la marche du 1er mai s'est déroulée dans une ambiance festive. Près de 6.400 militants syndicaux et 1.300 étaient mobilisés, selon la police. A Toulouse, la manifestation des syndicats dans la matinée a réuni 20.000 personnes, d'après la CGT.

17h : Un policier a été blessé à Paris, non loin de la Place d'Italie, selon Le Figaro. Il a été évacué vers l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

Selon un comptage du cabinet Occurrence, mandaté par un collectif de médias, 40.000 manifestants sont mobilisés ce mercredi à Paris. Le ministère de l'Intérieur comptabilisait quant à lui 16.000 manifestants à 14h.

Le parquet de Paris indique que 206 personnes ont été placées en garde à vue ce mercredi dans la capitale.

De nombreux manifestants portaient des masques et des pancartes à l'effigie d'Alexandre Benalla, un an après les incidents de la place de la Contrescarpe. 

16h50 :  La préfecture de police de Paris a tenu à répondre aux accusations de Philippe Martinez et de la CGT sur l'attitude des forces de l'ordre face au cortège syndical : 

16h45 : Le Ministère de l'Intérieur a communiqué sur la réactivité des forces de l'ordre et sur les objets découverts lors des fouilles préventives et des différents contrôles sur Twitter : 

16h35 : Jean-Luc Mélenchon a défilé à Marseille en ce mercredi 1er mai 2019. 

16h30 : Des tensions se déroulent en fin de cortège dans le XIIIe arrondissement de Paris 

La journée a également été marquée par une tentative d'intrusion de 200 à 300 Gilets jaunes dans un commissariat dans la ville de Besançon. 

15h50 : Selon des informations du Figaro, des black blocs ont attaqué le commissariat de police du 13e arrondissement de Paris. Des cocktails molotov et des projectiles ont été lancés. 

Selon le ministère de l'Intérieur, 151.000 manifestants ont été recensés, dont 16.000 à Paris, à 14h. 

15h15 : A 15h, 200 interpallations ont été réalisées et 12.500 préventifs ont été recensés à Paris

Le syndicat FSU  a annoncé avoir quitté le cortège syndical, d'après des informations de BFMTV.

15h : Le cortège s'est élancé à 14h30 du boulevard Montparnasse en direction de la place d'Italie. 

Le Gilet jaune Maxime Nicolle est bien présent dans le cortège parisien. 

Selon des informations du Figaro, Philippe Martinez aurait été contraint de quitter la manifestation à cause des violences. Le secrétaire général de la CGT aurait annulé son point presse. 

Philippe Martinez s'est exprimé auprès des médias. Il a pointé du doigt l'attitude des forces de l'ordre. 

"La police a chargé la CGT, c'est grave parce qu'on est identifiés quand même".

La CGT a publié un communiqué :

"Nos camarades, présents, y compris notre secrétaire général, se font gazer et reçoivent des grenades. Ce scénario en cours, scandaleux et jamais vu, est inadmissible dans notre démocratie."

14h05 : Emmanuel Macron est à l'Elysée, pour une réception en l'honneur de la formations des fleuristes et professionnels des métiers de bouche. Le chef de l'Etat a reçu le traditionnel muguet du 1er mai, remis par Stéphane Layani, patron du marché de Rungis.

14h : Selon des informations du Monde, la manifestation s'est terminée dans le calme à Nantes. D'après les syndicats, 5.000 personnes ont défilé dans les rues nantaises.  

13h50 : La préfecture de police a communiqué un nouveau bilan des chiffres sur les manifestations organisées à Paris ce mercredi 1er mai. A 13h15, la police avait déjà procédé à 9.016 contrôles préventifs et à 165 interpellations. 

13h45 : Selon un journaliste du Monde citant les chiffres de la préfecture de police, 5.500 manifestants sont réunis à Marseille, dont 1.200 "gilets jaunes". Selon Franceinfo, 6.500 manifestants ont été dénombrés à Bayonne. A Toulouse, plusieurs milliers de personnes sont rassemblées. Selon la CGT, 3.000 personnes sont réunies dans les rues à Caen. Selon les syndicats, 2.500 personnes sont rassemblées au Havre. Deux manifestations sont en cours à Rennes également. Entre 6.200 personnes, selon la préfecture, et 9.500, selon les syndicats défilent à Lyon. 

13h09 : Les premiers affrontements ont malheureusement éclaté devant le restaurant La Rotonde, boulevard de Montparnasse. Des manifestants ont lancé des projectiles sur les forces de l'ordre. Les policiers ont riposté par une charge. C'est dans cet établissement qu'Emmanuel Macron avait célébré sa qualification au second tour de l'élection présidentielle en 2017. Selon des informations de CNews, le restaurant La Coupole a également été pris pour cible. 

Des milliers de manifestants sont réunis aux abords de Montparnasse.  

12h : Comme chaque année pour la fête du Travail, de nombreuses manifestations sont prévues un peu partout en France. Après cinq mois de mobilisation des Gilets jaunes et après les annonces du président de la République dans le cadre du Grand débat, les rassemblements seront étroitement surveillés par les autorités. 

Les manifestants sont réunis près de la gare Montparnasse, à Paris en ce mercredi 1er mai 2019. La préfecture de police a annoncé que 88 personnes avaient déjà été interpellées à Paris. 3.700 contrôles préventifs ont été menés

Plus de 7 400 policiers et gendarmes sont mobilisés à Paris. Les commerces seront barricadés sur le parcours principal. Le préfet de police de Paris a ordonné la fermeture des commerces, débits de boissons et restaurants sur le parcours du cortège intersyndical parisien, le temps de la manifestation.  

Le rassemblement est autorisé et va s'élancer à 14h30 de Montparnasse pour rejoindre la place d'Italie.

La préfecture de police a également pris un arrêté interdisant de manifestation dans les secteurs des Champs-Elysées, du palais de l'Elysée, de l'Assemblée nationale et de Notre-Dame de Paris.

Selon le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, "1 000 à 2 000 activistes radicaux" sont attendus à Paris. 

La situation sera également scrutée par les autorités à Toulouse, Montpellier ou bien encore à Bordeaux.

Le Figaro

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