Deux attaques de talibans frappent Kaboul<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Faits divers
Deux attaques de talibans frappent Kaboul
©

Afghanistan

Quelques heures seulement après le départ de Barack Obama, en visite surprise en Afghanistan mardi, plusieurs explosions ont secoué Kaboul.

Deux attaques revendiquées par les talibans ont frappé la capitale afghane mercredi, quelques heures seulement après le départ du président Barack Obama, en visite surprise à Kaboul dans la nuit de mardi à mercredi.

Un attentat suicide à la voiture piégée qui visait une pension abritant notamment des employés étrangers de l'Union européenne et de l'ONU, a fait au moins six morts, cinq parmi les passants afghans et un garde de sécurité. Cette attaque a été suivie par deux explosions qui ont retenti dans le centre de Kaboul.

"Aujourd'hui, un combattant dévoué a perpétré un attentat suicide à la voiture piégée contre une base militaire étrangère à Kaboul, suivi par d’autres combattants qui ont pénétré dans la base", a déclaré un porte-parole des talibans dans un texto envoyé à l'AFP.

Lors de sa visite éclair, qui intervient un an jour pour jour après l'élimination d'Oussama Ben Laden au Pakistan, Barack Obama a promis "un nouveau jour" aux soldats américains qui ont accusé de lourdes pertes en Afghanistan avec1957 soldats tués selon le site icasualties.org.

L'Otan et les Etats-Unis ont entamé un processus de retrait de leurs troupes d'Afghanistan, qui doit achever en 2014, date à laquelle la charge de maintenir la sécurité dans le pays aura été entièrement transférée aux forces afghanes.

Le président américain était en visite surprise à Kaboul mardi, pour signer un accord avec son homologue afghan, Hamid Karzaï :

Lu sur Le Figaro.fr

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !