Attentat de la rue Monsigny : l'ami de Khamzat Azimov a été transféré au siège de la DGSI<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Attentat de la rue Monsigny : l'ami de Khamzat Azimov a été transféré au siège de la DGSI
©PATRICK HERTZOG / AFP

La piste de l'entourage

Le proche de Khamzat Azimov, le terroriste abattu par les forces de l'ordre samedi soir dans le quartier de l'Opéra, a été transféré ce lundi 14 mai au siège de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret.

Selon une source proche du dossier, l'ami strasbourgeois de Khamzat Azimov (l'assaillant au couteau de la rue Monsigny) est entendu au siège de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).  

Le parquet de Paris a prolongé de 24 heures la garde à vue de ce jeune homme d'origine tchétchène, né en 1997, tout comme l'auteur de l'attentat, Khamzat Azimov. Il a été transféré, depuis Strasbourg, avec une forte escorte. Des policiers de la DGSI l'avaient arrêté dimanche dans le quartier de l'Esplanade à Strasbourg. Une perquisition a été menée à son domicile.
Ce jeune homme est "l'individu le plus proche" de Khamzat Azimov. Ils ont tous les deux vécus pendant de nombreuses années à Strasbourg. Ils ont notamment été dans le même lycée.
Les enquêteurs vont chercher à savoir dans quelle mesure cet ami strasbourgeois aurait influencé Khamzat Azimov. Cette attaque terroriste, revendiquée par Daech, a fait un mort et quatre blessés. L'assaillant a été abattu par les forces de l'ordre. Khamzat Azimov était armé d'un couteau. Les parents du terroriste ont également été entendus par les forces de l'ordre. Ils ont été placés en garde à vue. Ils sont interrogés par les enquêteurs de la section antiterroriste de la police judiciaire de Paris.
Lu sur 20 Minutes

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !