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Violences du 1er mai : Emmanuel Macron accuse les "pyromanes" et pointe du doigt Jean-Luc Mélenchon
©Brendan Smialowski / AFP

Contre-attaquue

Avant de s'envoler pour la Nouvelle-Calédonie, le chef de l'Etat est revenu sur la flambée de violence qui a touché Paris le 1er mai.

Ils ne sont pas cités mais c’est tout comme. Avant de partir pour la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron est revenu devant la presse française sur les violences constatées à Paris le 1er mai. Visant implicitement Jean-Luc Mélenchon et son parti des Insoumis, il a indiqué : "Beaucoup de dirigeants politiques jouent aux pyromanes en permanence. Ce n'est pas bon d'avoir ainsi constamment un discours d'agitation. Ils veulent rejouer dans la rue le jeu démocratique. Au fond, ils n'aiment la démocratie que quand ils gagnent. Et puis, ils disent que ce sont des casseurs d'extrême-droite… Non. Il ne faut pas travestir la réalité".

Lorsque les journalistes lui ont demandé s’il parlait de la France Insoumise, le locataire de l’Elysée a répondu : "Ceux qui proposent des manifestations, ou des fêtes".

Interrogé également sur la polémique concernant l’organisation de la sécurité au tour de l’évènement, le chef de l’Etat s'est défendu : "Les casseurs se sont organisés très rapidement. On a respecté l'État de droit. Que m'auriez-vous dit s'il y avait eu des blessés ?".

Lu sur Europe 1

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