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Nicolas Hulot dément des accusations de harcèlement sexuel et dénonce des "rumeurs ignominieuses"
©Reuters

Avis de tempête

Visé par des rumeurs de harcèlement sexuel, Nicolas Hulot a confié ce jeudi matin "Hier, ma femme, mes enfants, étaient en pleurs. On a franchi la ligne rouge, je suis en rage".

Nicolas Hulot a souhaité prendre les devants. Vendredi, le magazine Ebdo devrait sortir une enquête à son sujet, évoquant deux graves affaires qui pèsent sur l'ancien présentateur de télévision. Sur RMC et BFMTV ce jeudi matin, le ministre a nié en bloc. "Est-il vrai que vous avez été accusé de harcèlement sexuel par une ancienne collaboratrice de votre fondation?" a interrogé Jean-Jacques Bourdin. "La réponse est non" a répondu Nicolas Hulot." Et la personne en question, qui est identifiée, avec qui je suis en contact, vous fera la même réponse". Condamnant des "rumeurs ignominieuses", il a martelé qu’il "n'y a pas d'affaire" et qu’il n’avait "rien à se reprocher".

Autre dossier : celle d'une "jeune fille de 17 ans, petite fille d'un homme politique célèbre", qui aurait déposé plainte contre lui pour viol. Nicolas Hulot a affirmé que la fille était majeure mais a admis qu’une plainte avait été déposée en 2008 pour des faits remontant à 1997. "Il y a eu prescription, mais cela ne suffit pas: j'ai été auditionné par les gendarmes à ma demande et à l'époque les enquêteurs ont considéré qu'il n'y avait rien qui permettait de poursuivre cette affaire" a-t-il indiqué.

Excluant de démissionner, le ministre a fait part de sa colère et a dénoncé le "poison lent" de la rumeur. "On a touché à ce qui me fait mal" a-t-il déclaré. "Hier, ma femme, mes enfants, étaient en pleurs. On a franchi la ligne rouge, je suis en rage. Je n'ai pas peur de la vérité, mais j'ai peur de la rumeur, c'est un poison lent qui tue." 

Lu sur BFMTV

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