Daniel Fasquelle veut que Les Républicains rompent avec Sens commun<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Daniel Fasquelle veut que Les Républicains rompent avec Sens commun
©

Rupture

"Le président de Sens commun a souhaité une plate-forme commune entre sa formation et Marion Maréchal-Le Pen" et "a affirmé que l’on ne peut être Français sans être chrétien", explique le député du Pas-de-Calais, qui juge ces valeurs "incompatibles avec les positions des Républicains".

Daniel Fasquelle, candidat à la présidence des Républicains, a envoyé une lettre au secrétaire général des Républicains, Bernard Accoyer, pour réclamer la "dénonciation de la convention" qui lie son parti à Sens commun, émanation de la Manif pour tous. Dans son courrier, Daniel Fasquelle souligne que "le président de Sens commun a souhaité une plate-forme commune entre sa formation et Marion Maréchal-Le Pen" et "a affirmé que l'on ne peut être Français sans être chrétien", valeurs jugées "incompatibles avec les positions des Républicains".

>>> À lire aussi : La droite plombée par sa névrose Sens Commun 

Le député du Pas-de-Calais estime que "la conséquence serait que l'adhésion à Sens commun ne vaudrait plus adhésion à LR". "Mais si certains de leurs membres veulent se désolidariser de la ligne de leur président, ils quittent Sens commun et rejoignent directement Les Républicains", a-t-il précisé à l'AFP. En outre, il a démenti avoir eu des "contacts" avec le président de Sens commun Christophe Billan, alors que celui-ci avait affirmé être "en négociation" avec "ceux qui sont en capacité de gagner" la présidence de LR, en faisant référence à Daniel Fasquelle et Laurent Wauquiez. "Deux lignes rouges ont été franchies", a considéré Daniel Fasquelle.

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !