Gérald Darmanin : "Ce n'est pas à moi de partir des Républicains mais plutôt à eux"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Gérald Darmanin : "Ce n'est pas à moi de partir des Républicains mais plutôt à eux"
©Reuters

Droit de réponse

Dans le Figaro, le ministre des Comptes public dénonce "certains des responsables du parti qui se sont dangereusement éloignés des fondamentaux, pour se rapprocher de la droite extrême".

Gérald Darmanin ne compte pas se laisser faire.  Visé par une procédure d’exclusion des Républicains, le ministre des Comptes public, homme de droite rallié à Emmanuel Macron, a tenu à se justifier sur ses choix dans les colonnes du Figaro. "J’ai adhéré au RPR quand j’avais 17 ans car je croyais aux valeurs du gaullisme, particulièrement au gaullisme social, porté par Philippe Séguin", a-t-il expliqué. "Je me sens toujours très fidèle à l’engagement qui était le mien il y a dix-sept ans. Je constate que ce n’est malheureusement plus le cas pour certains des responsables du parti qui se sont dangereusement éloignés des fondamentaux de notre famille politique, pour se rapprocher de la droite extrême".

Et l'ancien député-maire LR de Tourcoing d’enfoncer le clou, en se référant au fameux épisode du Trocadéro, durant la campagne présidentielle de François Fillon. "Je ne pense pas que ce soit à moi de partir des Républicains mais plutôt à eux. Tous ceux qui ont accompagné le Trocadéro, c’est-à-dire la radicalité d’une petite partie de l’électorat, devraient s’excuser plutôt que d’exclure !".

Le ministre de Bercy souhaite un  rassemblement "aux côtés d’un Premier ministre qui vient de nos rangs et qui dépasse les vieux clivages » et reproche à ses opposants de ne pas avoir compris "qu’on est passé de l’ancien au nouveau monde". Il estime que tel "était le moteur de la création de l’UMP puis des Républicains, comme le combat contre l’extrême droite".

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !