Candidature d'Emmanuel Macron : "C'est très embêtant" admet Jean-Christophe Cambadélis <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Candidature d'Emmanuel Macron : "C'est  très embêtant" admet Jean-Christophe Cambadélis
©GUILLAUME SOUVANT / AFP

Effectivement...

Le patron du PS redoutait l'ancien ministre, qui pourrait affaiblir la gauche, déjà mal en point.

Secrètement, Jean-Christophe Cambadélis espérait probablement une candidature unique à gauche, capable de rassembler suffisamment pour se présenter commune une force à la présidentielle. Las, il devra se contenter d'une gauche éparpillée, notamment avec la candidature attendue ce mercredi de l'ancien ministre Emmanuel Macron. "C’est très embêtant" explique-t-il sur France 2. "Parce que la gauche est dans un rapport aujourd’hui de 60-40 si vous mettez l’extrême droite et la droite vis-à-vis de la gauche. Si on morcelle, si un jour il y a un candidat qui est Macron, un candidat désigné par la primaire, un candidat qui est Mélenchon, un candidat du parti communiste, un candidat des écologistes, je vous donne le résultat: aucun de ceux que je viens de nommer ne seront au deuxième tour de la présidentielle." Il en a profité pour rappeler que ceux qui rejoindront Emmanuel Macron seront exclus du PS. "Il pouvait participer à la primaire. Je suis obligé de constater qu’il n’a pas envie de participer à la primaire."

De son côté, François Hollande a refusé de commenter la candidature de son ancien  ministre. "Vous comprenez bien que je ne ferai pas de commentaires sur une quelconque annonce" a-t-il souligné sur France 24, TV5Monde et RFI. Mais il a néanmoins appelé à la "cohésion" pour la France.

A LIRE AUSSI - Emmanuel Macron : l’étrange pari du bonapartisme participatif

Lu sur Libération

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !