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"Contre tous les pronostics, nous pouvons représenter un espoir" pour 2017 lance Manuel Valls
©Reuters

L'espoir fait vivre

Le Premier ministre a estimé sur France Inter que "les propositions de la droite ne rencontreront jamais l'adhésion du peuple".

"Contre tous les pronostics, nous pouvons représenter un espoir". Invité de France Inter ce mercredi matin, Manuel Valls a dit croire encore aux chances du parti socialiste aux prochaines élections présidentielles de 2017. Pour le Premier ministre, les électeurs ne sont en effet pas convaincus par la droite. "Toutes les propositions de la droite, d'Alain Juppé, de Nicolas Sarkozy, de François Fillon ne rencontreront jamais l'adhésion du peuple", a estimé le chef du gouvernement. Il s'est dit "fier" du bilan de la présidence Hollande, se réjouissant de la "tendance" à la baisse des chiffres du chômage. 

S’il a condamné les confidences du président de la République dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça" ("l'exercice du pouvoir c'est l'intimité, c'est le respect de la confidence, du secret" a-t-il déclaré), il a assuré de sa "loyauté" : "au chef de l'État, à la gauche et à la France".

Alors que certains, comme Claude Bartolone, s'interrogent sur la capacité d'incarnation de François Hollande, Manuel Valls réplique : "Tout cela, je l'entends. Mais vous pensez que je vais en rajouter avec mes commentaires ? C'est une décision intime, il doit tenir compte de la situation. Il doit donner du sens à une nouvelle candidature et à un nouveau quinquennat" précise-t-il. "Le rapport au chef et à l'autorité a été questionné. La société a besoin d'incarnation, d'autorité. On a besoin d'une référence. Au niveau de la commune, il y a le maire, dans le pays il y a le président".

Le locataire de Matignon a également évoqué la question de la "jungle" de Calais. Pour lui, l'évacuation de plusieurs milliers de migrants du camp représente "un beau visage de la France". "Ce qui est en train de se passer à Calais, c'est un beau visage de la France", a-t-il jugé. "On a une opération humanitaire qui est menée en tenant compte d'hommes et de femmes qui fuient la guerre et qui demandent l'asile, et qui est menée aussi avec fermeté. Attendons la fin de la semaine, mais plus de 4 000 personnes ont déjà été évacuées. L'accueil dans les centres se passe bien."

Lu sur franceinfo

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