Crise des migrants : Marine Le Pen veut "éradiquer l'immigration bactérienne"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Marine Le Pen avait déjà évoqué en 2013 la "tuberculose multirésistante concernant des immigrés d'Europe de l'Est".
Marine Le Pen avait déjà évoqué en 2013 la "tuberculose multirésistante concernant des immigrés d'Europe de l'Est".
©Reuters

Propos polémiques

"Les hôpitaux font face à la présence alarmante de maladies contagieuses non européennes, liées à l'afflux migratoire" assure Marine Le Pen.

En vue des élections régionales dans le Nord, la présidente du Front National a formulé de nouvelles propositions polémiques relevées ce mardi par la Voix du Nord. "Les hôpitaux font face à la présence alarmante de maladies contagieuses non européennes, liées à l'afflux migratoire. Nous refusons cette mise en danger de la santé de nos compatriotes" affirme Marine Le Pen qui souhaite "éradiquer l'immigration bactérienne".

Assurant également vouloir combattre "la surcharge pondérale" et préserver "les hôpitaux de proximité", Marine Le Pen avait déjà évoqué en 2013 la "tuberculose multirésistante concernant des immigrés d'Europe de l'Est" entretenue selon elle "par un réseau d'immigration massive et incontrôlée".

Sur son compte Twitter, l'ancien ministre François Lamy estime que "la xénophobie de MLP vire à la folie", alors que Xavier Bertrand (Les Républicains) s'interroge sur le fait de savoir si "le FN n'est pas pire qu'avant" depuis que Marine Le Pen en est la présidente. 

Sandrine Rousseau (EELV) a quant à elle posté sur sa page Facebook le message suivant : "Immonde et puant (…) Vite qu'un autre air souffle sur notre région". Sébastien Chenu, responsable presse et en première position sur la liste FN dans la Somme, a quant à lui expliqué qu'il s'agissait d'"un lapsus". 

Lu sur Le Point

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !