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L'affaire Omar Raddad relancée par des traces ADN "exploitables"
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Mise à jour

Grâce à une nouvelle loi, permettant d'assouplir les condition des révision des procès, l'avocate de l'ancien jardinier a pu réclamer l'étude de deux prélèvements.

Personne n'a oublié cette sinistre affaire et l'inscription "Omar m'a tuer", avec cette faute d'orthographe qui jetait le doute sur la culpabilité du principal suspect, Omar Raddad, condamné à dix-huit ans de prison en février 1994 pour le meurtre de Ghislaine Marchal, avant d'être gracié en 1996.

24 ans après le drame, de nouveaux indices pourraient relancer l'affaire. En effet, grâce à une nouvelle loi de 2014, permettant d'assouplir les condition des révision des procès, l'avocate de l'ancien jardinier a pu réclamer l'étude de deux prélèvements ADN, chose qui avait toujours été refusée par la justice. Le parquet vient ainsi d'annoncer que ceux-ci étaient "exploitables" et pourraient donc donner des informations précises sur ce qu'il s'est passé ce jour de février 1991. Pour autant, il s'agit de prendre l'annonce avec prudence car il est fort possible que ses traces ADN soient postérieures au meurtre. La scène du crime a pu facilement être "contaminée" notamment pendant l'enquête.

Lu sur Le Parisien

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