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DSK visé par une enquête préliminaire pour escroquerie
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Encore une

Le parquet de Paris a ouvert le 28 juillet une enquête préliminaire pour escroquerie et abus de biens sociaux sur la gestion de LSK, une société luxembourgeoise que présidait l'ancien patron du FMI.

DSK encore dans le viseur de la justice. Le parquet de Paris a ouvert le 28 juillet une enquête préliminaire pour escroquerie et abus de biens sociaux sur la gestion de LSK, une société luxembourgeoise que présidait Dominique Strauss-Kahn, selon des informations révélées ce matin par la radio France Inter.

Les magistrats s'intéressent notamment à la faillite, déclarée en novembre 2014, de cet établissement. Ce dernier "laisse aujourd'hui un trou de 100 000 000 €", indique la radio qui souligne que cette enquête est consécutive à la plainte déposée le 30 juin par un homme d'affaires français, Jean-François Ott, qui a perdu 500.000 € investis dans LSK. Une seconde plainte a depuis été déposée par un ex-banquier macédonien.

C'est l'homme d'affaires franco-israélien Thierry Leyne  qui avait fondé LSK. Ce groupe de placements financiers s'appuyait sur un réseau de plusieurs filiales nommées Assya. "Rien qu’à Luxembourg,Assya gérait les portefeuilles de près de cinq cents clients aujourd’hui floués" précise France Inter .

Thierry Leyne s'est suicidé l'an dernier, et l'ancien patron du FMI a quitté la présidence de l'entreprise quelques jours avant le décès. Jean Veil, l'avocat défendant les intérêts de Dominique Strauss-Kahn, a expliqué sur France Info que son client "n'avait aucun rôle opérationnel, et qu'il est lui-même victime". On aurait imité sa signature.

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