Charles Pasqua est décédé à l'âge de 88 ans<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Charles Pasqua est décédé à l'âge de 88 ans
©Reuters

RIP

"Il s’est éteint à l’hôpital Foch de Suresnes dans les Hauts-de-Seine, où il résidait, dans ce département qu’il avait façonné par sa ferme volonté d’inscrire l’action politique en réalisations concrètes et ambitieuses" précise le communiqué.

Résistant, gaulliste, et co-fondateur du Service d'action civique (SAC), Charles Pasqua est décédé ce lundi à l'âge de 88 ans d'un arrêt cardiaque selon les informations du Point qui publie un communiqué rédigé par la famille de l'ancien ministre de l'Intérieur : "Il s’est éteint à l’hôpital Foch de Suresnes dans les Hauts-de-Seine, où il résidait, dans ce département qu’il avait façonné par sa ferme volonté d’inscrire l’action politique en réalisations concrètes et ambitieuses. Il est toujours resté fidèle à son engagement gaulliste dans la Résistance contre l’occupant nazi. Pour lui, la politique était un combat au service de la France, dans la fidélité à ses compagnons, dans le respect de ses adversaires dès lors qu’ils étaient animés, comme lui, par la conviction et le courage. Nous avons eu le privilège de connaître l’homme privé si attentif aux autres et si extraordinaire professeur d’optimisme. Tous ceux qui l’ont approché savent combien Charles Pasqua pouvait rendre les âmes fortes et savait consoler les malheurs par sa joie de vivre. Seules les offenses faites à la France et à l’honneur ternissaient son regard bienveillant face à toutes les épreuves. Il aurait souhaité en ce jour si douloureux pour nous que ses amis ne cèdent pas au chagrin mais gardent de lui une image fidèle et que, pour lui, ils perpétuent son dévouement à une certaine idée de la France."

Lu sur le Point

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !