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Mur des cons du Syndicat de la magistrature : sa présidente, Françoise Martres mise en examen
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L'existence d'un "Mur des cons" dans les locaux du Syndicat avait été révélée par Atlantico, le 24 avril 2013.

L'affaire du "mur des cons" resurgit.Révélée par Atlantico en avril 2013, l'affaire n'est toujours pas close. Jeudi soir, Valeurs Actuelles a indiqué sur son site que Françoise Martres, la présidente du Syndicat de la magistrature a été mise en examen le 17 février. Elle était visée par douze plaintes de personnalités épinglées sur le “mur. Robert Ménard ou le général Schmitt faisaient partie des plaignants. Selon le magazine, "Françoise Martres est notamment poursuivie pour injure publique envers un particulier. Elle pourrait également l'être pour destruction de preuves".

A LIRE AUSSI - Une justice impartiale ? Manifestement, pas pour un certain nombre de juges du Syndicat de la magistrature qui ont leur mur des cons...

Le "mur des cons", c'est quoi ?

L'affaire avait été révélée par Atlantico en avril 2013, grâce à une vidéo tournée dans les locaux du Syndicat de la magistrature. Des dizaines de photos de personnalités pour la quasi-totalité classées à droite de l'échiquier politique étaient affichées sur un mur avec des annotations insultantes. Nicolas Sarkozy, Eric Woerth, Edouard Balladur, Nadine Morano, François Baroin, Luc Chatel, Michèle Alliot-Marie ou encore Patrick Balkany y figuraient. Certains étaient marqués d'un signe supplémentaire "d'infamie" : un autocollant du Front National. Le portrait de l'ancien ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux était souligné d'une mention particulièrement injurieuse : "L'homme de Vichy". Des intellectuels étaient aussi sur ce mur. Cette affaire avait fait un tollé.

Lu sur Valeurs Actuelles

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