Contenus en rapport avec le mot-clé Louis XV
Bonnes feuilles
Révolution et religion : les Lumières, l’Eglise et la foi
Christine Le Bozec a publié « Révolution et religion » aux éditions Passés / Composés. La décennie révolutionnaire fut le théâtre d’un conflit politico-religieux passionné dont l’histoire ne retint souvent que les outrances, celles de prêtres pourchassés, d’églises vandalisées et d’un catholicisme malmené et banni. Reste qu’en s’attaquant de front à l’Église catholique de France pour la mettre au pas, les révolutionnaires ont froissé une partie de la société en ne prenant pas le poids de l’attachement populaire à l’institution et à ses hommes. Extrait 1/2.
Bonnes feuilles
Apprentis en politique : Louis XVI, du trône à l’échafaud
Dominique Jamet publie "Apprentis en politique" aux éditions De Borée. Qu'est-ce que le pouvoir ? Le choc, d'une ambition et de la réalité. La conquête du pouvoir est parfois une partie de plaisir, mais la prise de pouvoir ne couronne trop souvent que la reine d'un jour. Dominique Jamet évoque le destin de ces gouvernants, parvenus au sommet par la grâce de l'hérédité ou du hasard, trop jeunes, mal préparés, mal formés et politiquement inexpérimentés. Extrait 2/2.
Radio Atlantico
Choiseul, “l’excellence bleue” méconnue qui gouvernait la France avec Louis XV et Mme de Pompadour
Secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères, ministre d’Etat, lieutenant général des armées du roi... Choiseul est un personnage fascinant de l'Histoire de France. Monique Cottret, professeur et spécialiste du XVIIIe siècle, le dévoile aux auditeurs de Storiavoce, partenaire d'Atlantico. Elle est interrogée par Christophe Dickès.
Fin de règne ?
On l'appelait "Emmanuel le bien-aimé". Et il finira comme Louis XV, mais ce sera moins long !
Dans le dernier sondage, le président de la République chute brutalement de 12 points. Son plus bas niveau. Voici pourquoi.
Bonnes feuilles
La marquise de Pompadour, maîtresse de Louis XV qui lui fit découvrir les plaisirs et les agréments d’une liaison bourgeoise
Depuis le XVIIe siècle, le secret diplomatique a souvent été secret d'alcôves avec un s et "valise diplomatique" a rimé plus d'une fois avec "vanity-case": des nièces de Mazarin aux "gaullistes queutards", en passant par les maîtresses royales et les ambassadeurs-étalons, on a beaucoup couché (ou tenté de coucher) pour maintenir la grandeur de la France, et jamais la petite histoire n'a aussi bien expliqué la grande. Extrait de "Une histoire érotique de la diplomatie", de Nicolas Mietton, aux éditions Payot