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L’UE est prête à sacrifier compétitivité et crédibilité sur l’autel de l’idéologie (à nouveau).

L’armée israélienne a lancé mardi une nouvelle offensive terrestre sur Gaza, qualifiée de « centre névralgique » du Hamas. Des frappes massives ont poussé plus d’un tiers de la population de la ville à fuir, dans un contexte humanitaire catastrophique qui suscite de vives critiques internationales.

L'Espagne ne participera pas à l'Eurovision 2026 si Israël maintient sa participation, annonce RTVE, la radio et la télévision publique espagnole.

Comme annoncé depuis plusieurs semaines par le Premier ministre Benyamin Netanyahu, l’armée israélienne a officialisé mardi 16 septembre, avant l’aube, le déclenchement de son offensive terrestre majeure sur la ville de Gaza.

Benjamin Netanyahu assume la frappe israélienne contre des dirigeants du Hamas à Doha et prépare une offensive majeure sur la ville de Gaza. Soutenu publiquement par Washington mais mis en garde par Donald Trump, le Premier ministre israélien s’accroche à une ligne dure, quitte à accentuer les tensions régionales.

Moins d’une semaine après l’attaque israélienne ayant visé la direction politique du Hamas en exil à Doha, les pays arabo-musulmans se sont réunis en sommet extraordinaire au Qatar. Sans annoncer de sanctions immédiates, ils appellent à revoir les relations avec Israël et mettent en garde contre une impunité qui menace l’équilibre régional.

Pour le journaliste Jean-Sébastien Ferjou, « le Premier ministre Pedro Sánchez est extrêmement anti-israélien ».

La dernière étape du Tour d’Espagne n’aura pas connu son sprint final habituel. Dimanche, des manifestations propalestiniennes ont interrompu définitivement la Vuelta, transformant l’événement sportif en affaire politique internationale. Tandis que le gouvernement espagnol y voit « une leçon donnée au monde entier », l’opposition parle de « honte internationale » et Israël accuse directement Pedro Sánchez d’avoir encouragé les protestataires.

Donald Trump a adressé une mise en garde à Israël après l’attaque menée à Doha, au Qatar, contre plusieurs responsables du Hamas. L’opération israélienne, qui a eu lieu mardi dernier, a provoqué la mort de cinq membres du Hamas ainsi que d’un agent des forces de sécurité qataries. Cet événement a déclenché de vives réactions dans la région et a poussé Washington à clarifier sa position.

Israël a confirmé mardi avoir mené une frappe aérienne au Qatar visant des responsables du Hamas. Une attaque sans précédent qui a immédiatement provoqué une vague de condamnations internationales, le Qatar étant jusque-là considéré comme un acteur central des efforts de médiation dans le conflit de Gaza.

Israël a revendiqué mardi une frappe « ciblée » contre des dirigeants du Hamas à Doha, capitale du Qatar. L’opération, inédite sur le territoire de ce pays du Golfe jusqu’ici considéré comme médiateur central dans le conflit, a causé la mort de six personnes selon le mouvement palestinien. Parmi elles figurent le fils du négociateur en chef du Hamas, Khalil al-Hayya, ainsi qu’un membre des forces de sécurité qataries. L’attaque a immédiatement suscité une vague de réactions indignées dans la région et au-delà, Emmanuel Macron parlant d’une action « inacceptable ».

Le chef de la communauté druze d’Israël, Cheikh Muwafaq Tarif, s’est rendu mardi à Bruxelles pour alerter les institutions européennes sur la gravité des affrontements qui ensanglantent la province syrienne de Soueïda. Reçu par la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, et plusieurs responsables de l’UE, il a plaidé pour un soutien humanitaire et politique accru face à ce qu’il décrit comme une situation « insoutenable » pour son peuple.

Lors de son dernier entretien accordé à la chaîne YouTube Thinkerview, l'activisme pro-palestinienne Rima Hassan a entrepris de relativiser les chiffres de l'antisémitisme en France récoltés par le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France). Nouvelle provocation ou stratégie consciente ? Décryptage.

Jean-Luc Mélenchon, désigné par Bruno Retailleau comme « l’ingénieur en chef de la violence », contrôle-t-il encore vraiment ses compagnons de route racialistes ?

Alors que Tsahal mobilise massivement ses réservistes pour une nouvelle opération terrestre visant à reprendre la ville de Gaza, Emmanuel Macron a mis en garde Israël contre toute offensive ou tentative d’annexion, réaffirmant l’engagement de la France en faveur de la reconnaissance de l’État palestinien.

La reconnaissance de la Palestine par la France, que Paris entend officialiser lors d’une conférence internationale à New York fin septembre, suscite de vives réactions en Israël. Le ministre des Affaires étrangères israélien accuse Emmanuel Macron de « saper la stabilité » régionale, tandis que le président français maintient que seule la solution à deux États peut offrir une perspective de paix durable.

La Belgique a annoncé qu’elle reconnaîtra officiellement l’État de Palestine à l’Assemblée générale des Nations Unies, prévue du 9 au 23 septembre à New York. Elle rejoint ainsi plus d'une dizaine de pays occidentaux prêts à rejoindre le mouvement initié cet été par la France.

Israël a affirmé dimanche 31 août avoir tué Abou Obeida, porte-parole de la branche armée du Hamas, lors d’une frappe à Gaza. L’annonce intervient alors que l’armée israélienne intensifie son offensive, qui a causé au moins 63 morts en 24 heures selon la Défense civile du territoire.

Le choix de donner à une promotion de droit le nom de l’eurodéputée LFI Rima Hassan, engagée pour la cause palestinienne mais accusée de sympathies envers le Hamas, provoque une onde de choc jusqu’en France.

En approuvant le projet de colonisation E1 en Cisjordanie, Israël franchit une ligne rouge aux yeux de la communauté internationale. Pour Denis Charbit, cette décision vise clairement à rendre impossible la solution à deux États et s’inscrit dans une fuite en avant idéologique.