Atlantico Santé
Les femmes deviennent chaudes quand elles sont touchées par un homme, les gènes prédisent vos chances de réussite pour arrêter de fumer...
... et les autres sujets santé du moment : inhiber la testostérone pour stopper le cancer de la prostate, un peu de zinc pour soigner les infections bactériennes des bébés et une augmentation de 75% des cancers à prévoir en 2030.
Cancer de la prostate : inhiber la testostérone pour le stopper ?
L’acétate d’abiratérone, médicament inhibant la production de testostérone, ralentirait très nettement la progression des tumeurs de la prostate. De plus, la qualité de vie des patients semble améliorée. Alors même qu’il est toujours en cours, l’essai clinique livre déjà ses premiers résultats marquants.
À l’occasion du congrès de la Société américaine d’oncologie clinique (Asco) qui se tient à Chicago (États-Unis), une nouvelle étude menée sur trois continents a démontré l’efficacité de l’acétate d’abiratérone dans la prise en charge des cancers de la prostate métastasés. Cette substance permettrait à la fois de ralentir la propagation de la maladie et de préserver la qualité de vie des patients
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Tabac : les gènes prédisent si vous pouvez arrêter de fumer
Les personnes possédant des variants génétiques susceptibles de les rendre gros fumeurs sont celles qui répondent le mieux aux traitements antitabagiques. Cette étude conclut qu'en regardant l’ADN, il est possible de prédire l’efficacité des thérapies et offrir un traitement personnalisé aux accros à la nicotine qui souhaitent arrêter de fumer.
Arrêter de fumer, une épreuve toujours très difficile à surmonter car la dépendance à la nicotine est forte et beaucoup de ceux qui s’y risquent ne parviennent pas à décrocher.
Des chercheurs de la Washington University de Saint-Louis (Missouri) viennent de montrer qu’il suffisait de regarder de plus près certains gènes pour envisager la meilleure thérapie pour stopper sa consommation tabagique. Leur expérience est largement expliquée dans l’American Journal of Psychiatry.
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Bébés : un peu de zinc pour soigner les infections bactériennes
Le zinc pourrait contribuer à combattre certaines infections bactériennes, telles les pneumonies ou les méningites. Combiné à des antibiotiques, il favoriserait les chances d’une guérison rapide. Mais il n’est en aucun cas un remède miracle !
Donner un peu de zinc aux nouveau-nés les aiderait à guérir de certaines infections bactériennes, telles qu'une pneumonie et une méningite, en dopant l'efficacité du traitement antibiotique, selon une étude indienne publiée jeudi par la revue médicale britannique The Lancet.
Pour cette étude réalisée dans des hôpitaux de New Delhi, les médecins ont donné un complément de 10 mg de zinc par jour à 332 bébés mis sous traitement antibiotique. Ils ont comparé les résultats avec ceux d'un groupe de 323 enfants également traités par des antibiotiques mais ayant reçu un placébo à la place du zinc.
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Cancers : une augmentation de 75 % à prévoir en 2030
Les cas de cancers devraient augmenter de 75 % à travers le monde d’ici 2030. Une nouvelle pas très réjouissante quand on sait que la maladie emporte chaque année plus de 7,5 millions de personnes. La hausse sera probablement très significative dans les pays les plus modestes. D’ici là, aurons-nous trouvé le moyen de soigner toutes les tumeurs ?
Aujourd’hui déjà, les cancers sont la première cause de décès dans la plupart des pays riches. Or l’avenir ne laisse rien augurer de bon. Une prospective du Centre international de recherche sur le cancer (Circ) de l’OMS à Lyon, prévoit en effet rien moins qu’une hausse moyenne de 75 % d’ici 2030, de leur incidence dans le monde. Avec une progression encore plus spectaculaire dans les pays les moins favorisés.
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Les femmes deviennent chaudes quand elles sont touchées par un homme
Lorsque les femmes sont touchées par des hommes à des endroits aussi intimes que la joue et la poitrine, la température de la peau de leur visage augmente fortement, reflétant leur excitation sexuelle. Si de telles observations avaient été faites durant des changements d’états émotionnels, la majorité des participantes ont déclaré ne rien ressentir durant l’expérimentation. Le plus souvent donc, ce phénomène est inconscient.
La communication ne passe pas que par des mots. Les gestes, les expressions faciales accompagnent également notre langage. Mais pas seulement : des signes beaucoup moins perceptibles peuvent trahir nos émotions. C’est typiquement sur ces principes que fonctionnent les détecteurs de mensonges, même s’il n’y a pas que les contrevérités qui nous amènent à exprimer physiologiquement nos pensées.
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