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"Destin judiciaire" de Sarkozy : 
l’UMP renvoie Arnaud Montebourg 
aux affaires dans lesquelles 
est mêlé le Monsieur justice du PS
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Riposte

"Le destin de M. Sarkozy est un destin judiciaire" : c'est ainsi qu'Arnaud Montebourg a évoqué le futur du président de la République après la présidentielle. L'UMP contre-attaque en évoquant le cas André Vallini - pressenti pour devenir le futur Garde des Sceaux d'un gouvernement socialiste - et poursuivi aux prud'hommes.

Bertrand Janicaud

Bertrand Janicaud

"Bertrand Janicaud" est chef d'entreprise.

Il écrit sous pseudonyme.

 

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La droite iséroise n’a pas tardé à réagir après les déclarations d’Arnaud Montebourg sur le « destin judiciaire » de Nicolas Sarkozy. Et de comparer les rumeurs entourant le chef de l’Etat aux innombrables démêlés judiciaires d’André Vallini, Monsieur Justice de François Hollande et président du Conseil général de l’Isère.

Si les éléphants du parti socialiste ne manquent jamais une occasion de faire la morale à la droite et aux Français, le cas d’André Vallini (pressenti pour devenir le futur Garde des Sceaux d'un gouvernement socialiste) devrait les pousser à un peu de modestie. C’est en tout cas le message envoyé par l’UMP de l’Isère.

Les accusations d’Arnaud Montebourg ne reposent « sur aucune base, aucun écrit, aucun témoignage le mettant en cause », tandis que le principal conseiller Justice de François Hollande, est « un homme poursuivi aux prud'hommes pour harcèlement et contraint de transiger, (et qui fait) l’objet d’une plainte contre X pour concussion ».

Autant de casseroles judiciaires qui devraient pousser Arnaud Montebourg et le Parti socialiste, dont « l’engagement pour l’honnêteté est à géométrie variable », à un peu plus de retenue dans l’utilisation politicienne de pseudos affaires.

André Vallini, sénateur et président du Conseil général de l’Isère, est attaqué depuis plusieurs mois par la droite iséroise et la justice au sujet de la gestion managériale de son cabinet, de l’important turn-over de ses collaborateurs et sur des accusations de « concussion » pour des emplois financés par le Conseil général et affectés à des tâches parlementaires.

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