Nouvelle campagne
"Elysée 2017" : "Les Français ont le choix entre deux visions de la société", estime Marine Le Pen
Après le passage d'Emmanuel Macron dans le JT de 20h sur France 2. Les Français ont retrouvé Marine Le Pen sur TF1, dans l'émission "Elysée 2017".
- Emmanuel Macron (24,01%) et Marine Le Pen (21,30%) seront au second tour de l'élection présidentielle
- François Hollande a annoncé qu’il voterait Emmanuel Macron
- Marine Le Pen s’est mise en congé de la présidence du Front national
- François Fillon a affirmé n’avoir "plus la légitimité pour mener" le "combat" des législatives
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22h35 : Emmanuel Macron, le prochain invité de TF1
Demain soir à 21h, Emmanuel Macron sera l'invité de l'émission "Elysée 2017" sur TF1.
22h15 : Une journaliste de CNN questionne Marine Le Pen
"Je suis la candidate capable d'avoir des relations apaisées avec l’ensemble des nations, a assuré Marine Le Pen. Les nations veulent être respectées dans leur mode de vie, dans leur choix, dans leur identité. C'est exactement la ligne qui sera la mienne", a souligné la candidate.
22h08 : Marine Le Pen pense avoir une majorité lors de législatives, si elle est élue
22h02 : Que pensent les Français de Marine Le Pen ?
Selon l'enquête Kantar Sofres onepoint sur la capacité de Marine Le Pen à exercer la fonction présidentielle, 73% des Français pensent qu’elle a de l’autorité et 62% qu’elle est capable de prendre des décisions. Cependent, seulement 39% la jugent à la hauteur et 32% l’estiment capable de rassembler au-delà de son camp. En outre, 54% des Français estiment que la candidate est capable de résoudre les problématiques liées à la sécurité, mais seulement 34% pour favoriser le pouvoir d’achat et 31% pour faire diminuer le chômage.
21h37 : Marine Le Pen : "Le référendum, c’est un élément essentiel de la Ve République"
21h33 : Pour Marine Le Pen, "l’euro a été un boulet, ça ruine les Français"
21h20 : Marine Le Pen : Emmanuel Macron "est le candidat de l’oligarchie, je suis la candidate du peuple"
Dès les premières minutes, Marine Le Pen a attaqué Emmanuel Macron. "Mon adversaire a une vision désincarnée de la France. Il est le candidat de l’oligarchie, je suis la candidate du peuple", a-t-elle indiqué. "Je vais expliquer aux Français que le choix est entre la mondialisation sauvage et le marché. La mondialisation sauvage, c’est l’argent roi. C’est la dérégulation totale, c’est le projet d’Emmanuel Macron : on libéralise tout, on se moque de la culture, des racines, de la famille. On n’est pas là pour diriger un pays, mais un territoire. C’est une vision qui est celle du marché", a-t-elle ajouté.
21h10 : Marine Le Pen invitée de TF1
20h42 : Emmanuel Macron : "Ma candidature, c'est un choix d'espoir, un choix d'avenir"
20h34 : Le choix de Jean-Luc Mélenchon attriste Emmanuel Macron
Le choix de Jean-Luc Mélenchon de ne pas donner de consigne de vote pour le second tour attriste Emmanuel Macron. En effet, le leader d'En Marche ! se dit "triste pour ses électeurs qui valent beaucoup mieux que ce qu'il a dit dimanche soir". "Il y a des électeurs qui croient en un responsable politique qui, il y a 15 ans, n'avaient pas hésité à appeler au front républicain", a déploré l'ex-ministre de l'Economie. Il a cependant ajouté qu'il ne fera pas d'ajustement pour convaincre les électeurs du candidat de La France insoumise ou de François Fillon. "J'ai un programme et un projet qui est clair. Maintenant, je veux convaincre. La mission qui est la mienne est de rassembler. Et je veux considérer parce que nos citoyens ont besoin de reconnaissance et de temps", a-t-il déclaré.
20h27 : Macron assume sa soirée à La Rotonde
Invité du JT de 20h sur France 2 Emmanuel Macron a été interrogé sur son dîner contesté à La Rotonde, dimanche soir. "C'était sincère et je l'assume totalement. Car il y a un an, nous n'existions pas. La grande majorité des personnes qui étaient là étaient des femmes et des hommes qui, depuis des mois, travaillent pour que cela advienne. Ce sont des gens qui œuvrent chaque jour, des gens simples. Moi j'ai invité les gens avec qui je travaille dans une brasserie parisienne. Ce n'est pas le diktat d'une bien-pensante triste qui me dira là où je dois aller".
20h15 : La réponse cinglante d’Emmanuel Macron à François Hollande
"Certains se réveillent avec la gueule de bois, grand bien leur fasse! Ils avaient qu'à s'activer avant, ils l'ont nourri!", a lancé Emmanuel Macron en réponse à l’avertissement de François Hollande. Après la visite d'un hôpital des Hauts-de-Seine, le candidat d'En marche ! s’est aussi dit très fier d’"être devant Marine Le Pen". Toutefois, il affirme que "rien n'est jamais gagné". "Je n'ai jamais considéré que quoi que ce soit était gagné. Je suis l'exemple vivant que les pronostiqueurs ont tort. Il faut se battre, vouloir, expliquer, porter. C'est ce que je vais faire", a poursuivi le candidat. "Je vais pendant quinze jours continuer à me battre" et "je défendrai le camp des progressistes jusqu'au bout", a-t-il ajouté. "Je serai le maître de mes propres horloges. Je n'ai jamais suivi le diktat des médias. Les Français se sont exprimés dimanche, à 20 heures. Nous sommes mardi après-midi. Que ça n'aille pas assez vite pour vous, grand bien vous fasse. Moi je veux construire sur cinq ans et même au-delà. Je suivrai le rythme que j'ai décidé".
20h05 : Ségolène Royal appelle à voter Macron
19h05 : Législatives : François Bayrou en désaccord avec Emmanuel Macron
Le président du MoDem juge que ce n'était "pas le moment d'annoncer des investitures" d'En Marche! "aux législatives" alors qu'Emmanuel Macron a promis qu'il en annoncerait "beaucoup" entre les deux tours de la présidentielle. "L'idée que l'on polluerait, ou que l'on troublerait, ou que l'on pèserait sur l'élection présidentielle, par la distribution d'investitures pour les élections législatives qui vont venir plusieurs semaines après, est une idée baroque", a expliqué François Bayrou dans l'émission "L'Épreuve de vérité" diffusée sur Public Sénat, en partenariat avec l'AFP, les Echos et Radio Classique. "En tout cas, moi je considère que c'est une idée qui n'est pas cohérente", a insisté le maire de Pau.
"Tout le monde sait que quand il y a des investitures, ça provoque des sentiments mitigés chez les uns et les autres, chez ceux qui souhaitent avoir ces investitures. Ce n'est donc pas le moment, entre les deux tours d'une élection présidentielle, d'annoncer des investitures aux législatives. Tel est mon sentiment", a encore souligné François Bayrou, en contradiction donc avec Emmanuel Macron.
18h40 : Pour le porte-parole de l’UDI, il faut "faire gagner Emmanuel Macron"
Daniel Leca, conseiller régional des Hauts-de-France et porte-parole de l’UDI demande à son parti de ne pas se contenter d’un front républicain à l’égard d’Emmanuel Macron. "Par-delà les quelques différences programmatiques, il est de notre devoir d’accompagner cette alternance profonde qui doit tourner la page de plus de 30 ans d’alternances stériles", écrit-il dans un communiqué, en exprimant "sa position personnelle". "Cette recomposition politique doit intervenir rapidement pour faire gagner Emmanuel Macron et lui donner, demain, une majorité politique stable et solide à même de réformer la France", ajoute-t-il.
Selon lui, le rôle de l’UDI est "de porter dans cette future majorité présidentielle que nous appelons de nos vœux, avec d’autres, les valeurs républicaines, écologistes et sociales au cœur de notre engagement". "Cette position est la seule à même de permettre à l’UDI de demeurer fidèle à sa raison d’être", assure-t-il. Une annonce qui intervient alors que les Républicains et l’UDI ont conclu un accord électorat et se sont fixés comme objectif de remporter ensemble les prochaines élections législatives afin de cohabiter avec le futur vainqueur de l’élection présidentielle.
17h50 : Nicolas Sarkozy va annoncer qu'il votera Macron au second tour ?
Nicolas Sarkozy va annoncer qu'il votera en faveur d'Emmanuel Macron au second tour de l'élection présidentielle, ont indiqué des sources LR concordantes mardi à l'AFP. Cependant, aucune des sources n'a été en mesure de préciser si l'ex-chef président de la République allait voter pour le candidat d'En marche! "à titre personnel" ou s'il allait appeler son camp à voter en sa faveur. L'une des sources a ajouté que l'ancien président devrait également dire qu'il "respecte les autres choix de sa famille politique".
16h50 : François Hollande: "Il n'y a pas eu de prise de conscience de ce qui s'est passé dimanche"
14h15 : Jean-Pierre Chevènement souhaite "un vote résolu pour Emmanuel Macron au second tour"
"Dans l'immédiat, il faut que nos concitoyens se mobilisent pour écarter Marine Le Pen au second tour", a jugé Jean-Pierre Chevènement dans un communiqué. Il "appelle à un vote résolu pour Emmanuel Macron au second tour".
13h50 : François Fillon "n'aime pas Macron" mais...
Lundi soir, François Fillon a mis un terme à sa campagne lors d'un pot dans son QG parisien. Devant ses permanents et bénévoles, il s'est livré à plusieurs confidences, rapportes par un article de Paris Match. "Ce que je n’ai pas mesuré c’est la résistances qui allait s’organiser contre notre volonté de redresser le pays, d’abord dans ma propre famille politique. J’ai été naïf, c’est pour ça qu’il faut se présenter plusieurs fois à l’élection présidentielle" a-t-il plaisanté.
L'ancien Premier ministre a souligné "ne pas aimer Emmanuel Macron", mais a réitéré son appel à faire barrage à l'extrême droite. "J’ai appelé hier à faire barrage au Front national. Je le redis devant vous. Je n’aime pas M. Macron, je n’aime pas le programme qu’il propose mais je suis avec une certitude totale que celui de Mme Le Pen mettrait la France par terre en six mois et déclenchera une décadence et un déclin pour le pays".
12h52 : François Hollande interpelle Emmanuel Macron et Marine Le Pen
"Aux Français, je veux leur dire ce message simple en ce moment si terrible : soutenez les policiers et les gendarmes, ils ont le droit à notre estime, à notre solidarité, à notre admiration face au danger", a lancé François Hollande lors de son hommage au policier tué. Avant de conclure : "Aux élus, je leur demande d'accorder les crédits budgétaires" pour que les policiers et gendarmes puissent remplir leurs missions.
12h18 : Emmanuel Macron toujours devant Marine Le Pen, selon un dernier sondage
Selon un sondage OpinionWay-Orpi pour Les Echos et Radio Classique, le candidat d'En Marche, Emmanuel Macron devancerait la candidate du Front national, Marine Le Pen lors du second tour. Il récolterait 61% des voix contre 39% à son adversaire. Par ailleurs, 71% des personnes interrogées estiment que la campagne est de "mauvaise qualité".
11h26 : Marine Le Pen : "Merci, François Hollande"
Interrogé ce matin à Rungis sur le soutien du chef de l'Etat envers Emmanuel Macron, Marine Le Pen a ironisé : "Merci François Hollande, je ne peux plus l'appeler "Monsieur le Président" parce qu'il ne se comporte pas comme un président. Il n'est pas le président de tous les Français dans cette séquence. Merci de donner la preuve que c'est bien la continuation de la politique que vous avez menée. Cette politique catastrophique, dramatique dont les Français ne veulent plus".
11h00 : L'hommage national au policier tué aux Champs-Elysée a débuté
François Hollande préside actuellement à la préfecture de police de Paris un hommage national à Xavier Jugelé, le policier tué jeudi 20 avril, lors de l'attentat sur les Champs-Elysées. Sont également présents les deux candidats qualifiés pour le second tour de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron et Marine Le Pen, ainsi que l'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy.
10h12 : Nicolas Sarkozy serait "atterré" par la défaite de la droite
"La droite a failli, nous n’avons pas parlé à tous les Français dans cette campagne", aurait déclaré l'ancien chef de l'Etat à ses proches, selon un article du Parisien.
9h51 : Bruno le Maire va voter pour Emmanuel Macron
Au micro de BFMTV, le député de l’Eure a estimé qu’il peut gouverner la France. "Je voterai pour Emmanuel Macron" le 7 mai prochain au second de l'élection présidentielle. Avoir l'extrême droite au pouvoir serait le reniement de ce qu'est la France en tant que nation et République. Bien sûr que j'ai des divergences avec son programme. Il est républicain, il peut gouverner la France".
.@EmmanuelMacron Avoir l'extrême droite au pouvoir serait le reniement de ce qu'est la France en tant que Nation et République. #Bourdinpic.twitter.com/Ilc5gZ0bwf
— Bruno Le Maire (@BrunoLeMaire) 25 avril 2017
9h32 : Henri Guaino - "Personne ne me fera voter pour Emmanuel Macron"
Henri Guaino s'est voulu très clair. "Jamais personne ne me fera voter pour Emmanuel Macron" a affirmé le député Les Républicains des Yvelines sur LCI. "Je suis en désaccord avec tout, je me bats depuis des années en politique contre ce qu'ilincarne, contre ce qu'il représente, contre ce qu'il fait".
9h16 : Cambadélis évoque un Macron "à côté de la plaque" le soir du premier tour
Sur RTL, Jean-Christophe Cambadélis a estimé qu'Emmanuel Macron avait manqué de "gravité" dans son discours le soir du premier tour et qui a considéré "à tort que c'était fait". Ce soir-là, "il a mis à côté de la plaque", a estimé le premier secrétaire du PS. "Il était satisfait, il pensait à tort que c'était fait, ce n'est pas fait. Y compris pour Emmanuel Macron, que Marine Le Pen soit en-deçà ou au-delà de 40%, c'est un élément d'importance pour l'ensemble de son quinquennat".
9h05 : Brice Hortefeux : "La primaire, première et dernière. C'est mon opinion !"
Alors que la droite ne sera pas présente au second tour de l’élection présidentielle pour la première fois depuis la création de la Ve République, Brice Hortefeux a critiqué le système des primaires. "François Fillon a dit que cette défaite était la sienne, qu’il la prenait sur ses épaules", a-t-il précisé au micro d’Europe 1. "François Fillon, fort de la légitimité de sa primaire, a décidé de persévérer. La primaire, première et dernière. C'est mon opinion ! "Comment persévérer dans un système qui aboutit à ce que les deux candidats qui se sont pliés à l’exercice de la primaire soient éliminés dès le premier tour, et que les deux candidats qui s’en sont totalement exonérés soient, aujourd’hui, les gagnants du premier tour ?"
8h25 : Jean-Marie Le Pen est "fier de sa fille"
"J’ai voté pour elle et je revoterai pour elle au second tour" a-t-il affirmé à France Inter. L'ancien président du Front national a tout de même disillé quelques critiques. "J’aurais fait une campagne à la Trump, très agressive", a-t-il jugé. "Je pensais qu’il y avait des problèmes plus clivants comme l’immigration massive, la sécurité ou le chômage que le problème européen. Je pense qu’elle a fait une bonne campagne, je regrette qu’il n’y ait pas eu autour d’elle une activité militante suffisante".
7h48 : les grands quotidiens français soulignent les fractures du pays
Le Monde et La Croix évoquent les plusieurs visages de la France élecorale. Atlantico a aussi analysé cette tendance.
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Le Parisien et Libération indiquent, quant à eux, que le sedonc tour entre Emmanuel macron et Marine Le Pen n'est "pas encore joué".
7h37 : Donald Trump demande des informations sur l'élection
Le président des Etats-Unis a posé des questions à l'ambassadeur français à l'ONU, lors d'une visite de ce dernier à la Maison-Blanche. "Lors d'un aparté avec le président Trump, celui-ci m'a interrogé sur les élections en France. Je lui ai fait un point de situation en mettant les choses en perspective", a précisé François Delattre.
7h25 : Les deux finalistes assisteront aujourd’hui à l’hommage au policier tué sur les Champs-Elysées
Un hommage sera rendu dans la cour de la préfecture de police à partir de 11 heures, à Xavier Jugelé, le policier tué jeudi lors de l'attentat sur les Champs-Elysées. Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont répondu favorablement à l'invitation de François Hollande et seront tous les deux présents.
7h10 : Marine Le Pen s’est rendue ce mardi matin au marché international de Rungis
La candidate frontiste est arrivée sur place peu avant 6 heures du matin. Emmanuel Macron y était venu avant le premier tour.
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