
BONNES FEUILLES
2 avril 2017
La France, cette République schizophrène empêtrée (pour de bon ?) dans "le choc des crises de civilisation"
Une guerre se gagne d’abord dans les esprits. Mais au nom de quel héritage et pour quels idéaux les Européens seraient-ils encore prêts à se battre ? Cette question est la seule qui vaille. Dès 2002, avec une cruelle ironie, Philippe Muray invitait les djihadistes à « craindre le courroux de l’homme en bermuda ». Il annonçait la suite en ces termes : nous serons les plus forts car nous sommes les plus morts. Souhaitons-nous lui donner raison ? Extrait de "Pour quoi serions-nous encore prêts à mourir ?" d'Alexandra Laignel-Lavastine, aux Editions du Cerf (2/2).
MOTS-CLES
république , civilisation , Multiculturalisme , consumérisme , barbarie , culture occidentaleTHEMATIQUES
SociétéDocteur en philosophie, historienne, essayiste, longtemps critique au Monde, Alexandra Laignel-Lavastine a reçu le Prix de l’Essai européen en 2005, le Prix de la Licra en 2015 pour La Pensée égarée. Islamisme, populisme, antisémitisme : essai sur les penchants suicidaires de l’Europe (Grasset) et la Ménorah d’or 2016 pour l’ensemble de son œuvre. Elle est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages, la plupart traduits à l’étranger.
Son dernier ouvrage, Pour quoi serions-nous encore prêts à mourir ? Pour un réarmement intellectuel et moral face au djihadisme, vient de paraître aux éditions du Cerf.
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Docteur en philosophie, historienne, essayiste, longtemps critique au Monde, Alexandra Laignel-Lavastine a reçu le Prix de l’Essai européen en 2005, le Prix de la Licra en 2015 pour La Pensée égarée. Islamisme, populisme, antisémitisme : essai sur les penchants suicidaires de l’Europe (Grasset) et la Ménorah d’or 2016 pour l’ensemble de son œuvre. Elle est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages, la plupart traduits à l’étranger.
Son dernier ouvrage, Pour quoi serions-nous encore prêts à mourir ? Pour un réarmement intellectuel et moral face au djihadisme, vient de paraître aux éditions du Cerf.