L’intensité de la réaction dans le cerveau est plus forte et rapide lorsque la perception est négative. Les auteurs concluent qu’avant même que la personnalité politique ne prenne la parole notre cerveau a déjà déclenché une réaction négative.

© Flickr/IsaacMao
FATALISME
18 novembre 2016
Pourquoi vous auriez pu regarder le débat de la primaire sans que cela change grand chose au choix de votre cerveau (et c'est la science qui le dit)
Différents critères autres que l'idéologie influent sur nos décisions d'Homme politique. L'image d'un candidat influe particulièrement notre choix, et ce, malgré ses idées. Notre cerveau peut donc être l'acteur d'une certaine forme de déterminisme électoral.
THEMATIQUES
PolitiqueArnaud Mercier est professeur en sciences de l'information et de la communication à l'Institut Français de Presse, à l'université Paris-Panthéon-Assas. Responsable de la Licence information communication de l'IFP et chercheur au CARISM, il est aussi président du site d'information The Conversation France.
Il est l'auteur de La communication politique (CNRS Editions, 2008) et Le journalisme(CNRS Editions, 2009), Médias et opinion publique (CNRS éditions, 2012).
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Arnaud Mercier est professeur en sciences de l'information et de la communication à l'Institut Français de Presse, à l'université Paris-Panthéon-Assas. Responsable de la Licence information communication de l'IFP et chercheur au CARISM, il est aussi président du site d'information The Conversation France.
Il est l'auteur de La communication politique (CNRS Editions, 2008) et Le journalisme(CNRS Editions, 2009), Médias et opinion publique (CNRS éditions, 2012).