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Aymeric Caron, encore plus odieux et sectaire en live qu'à la télévision
©Capture d'écran

Confidentiel

L'ex journaliste et auteur du livre "Incorrect" s'est fendu d'une attaque en règle sur la personne de Sophie de Menthon, lors d'un débat organisé à Evry sur le thème : "La France peut-elle être encore une terre d’accueil ?". La présidente de l'association patronale ETHIC s'est vu traiter, ni plus ni moins, de "raciste".

Chaque année, la Ville d’Evry, fief de Manuel Valls, organise les Rendez-vous de l’Ethique, journées au cours desquelles experts et politiques échangent sur les grandes questions de société. Traditionnellement, cette manifestation débute par un dîner convivial à la mairie auquel participent invités et organisateurs. Après ces agapes introductives, un premier débat débute à 21H dans la salle des mariages de l’Hôtel de Ville. Ce lundi 12 mai, le sujet choisi pour ouvrir les hostilités était "La France peut-elle être encore une terre d’accueil ?" Parmi les personnalités devant prendre la parole sur ce thème clivant, Sophie de Menthon, présidente de l’association patronale ETHIC, et Aymeric Caron, chroniqueur sur France 2 dans l’émission nocturne de Laurent Ruquier, « On n’est pas couchés ».

Pour planter le décor, l’ex-journaliste a commencé par annoncer à ses hôtes qu’il refusait de dîner en compagnie de Sophie de Menthon, personnage infréquentable selon lui.

Arrivant donc directement à Evry pour son débat, il s’est attaqué en des termes si virulents à son interlocutrice, l’accusant entre autres de tenir des "propos racistes", que celle-ci a quitté la table au bord des larmes. La présidente d’ETHIC ne faisait pourtant que défendre une position assez partagée au sein de la droite française en faveur du "contrôle des flux migratoires". Les organisateurs ont appelé, le lendemain de l’incident, Sophie de Menthon pour s’excuser et lui exprimer leur solidarité.

Quant à Aymeric Caron, sans doute se réjouit-il d’avoir, une fois de plus, imposé sa logique implacable : susciter un clash susceptible d’entraîner un buzz, au mépris de toute considération qualitative du point de vue de l’argumentation. Comme chez Ruquier, Caron a agressé sa cible sans chercher à comprendre  l’analyse d’une femme qui a pourtant démontré à maintes reprises, depuis qu’elle s’est engagée dans la vie publique, que tout sentiment de racisme ou de xénophobie lui était étranger. Mais pour Aymeric Caron, visiblement, peu importe les armes pourvu qu’il y ait un mort.

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