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Bactérie tueuse : 
encore un coup du complot !
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La bactérie venue de nulle part

On accuse les concombres espagnols, les germes de soja allemands ! Pour certains sites "complotistes", la vérité serait ailleurs. Du pur délire selon Benoît Rayski qui pousse un coup de gueule au second degré.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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La mort rôde en Europe. Elle a tué, et tue encore, en Allemagne. Et elle a provoqué la ruine de milliers de maraîchers. Des pseudo-scientifiques et des médias aux ordres soutiennent que c’est le hasard, la faute à une bactérie venue de nulle part. C’est faux ! C’est un leurre ! Plusieurs sites révolutionnaires, anti-impérialistes et antimondialistes, ont courageusement enquêté sur E.coli. Mais sans réussir (peut-être n’ont-il pas osé ?) à aller jusqu’au bout.

Nous sommes en mesure de dévoiler l’affreuse vérité : la bactérie a été conçue en laboratoire et ce sont des mains humaines qui l’ont inoculé à l’Europe. Le laboratoire en question se trouve à Dimona, là où l’entité sioniste entrepose ses engins nucléaires. Une fois fabriquée, la bactérie a été mise dans des éprouvettes et a voyagé dans une valise diplomatique pour être acheminée vers une ambassade européenne de l’entité sioniste. L’argent nécessaire a transité d’un compte secret du Mossad chez Lehmann Brothers vers la banque Rotschild à Paris où un certain Rojtszwanc a retiré les sommes. Toute l’opération a été minutieusement montée par le Mossad avec le soutien de savants américains d’origine juive.

Comme toujours, s’agissant de ce type d’actions, des faux passeports ont été utilisés pour camoufler l’identité des agents. Cinq passeports français fournis par les services de Sarkozy qui n’a rien à refuser à son ami Netanyahou. Et c’est ainsi que la bactérie a été disséminée sur le continent européen avec, comme cibles de choix, deux pays : l’Allemagne, toujours haïe pour de prétendus massacres qu’elle aurait commis pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Espagne pour détourner l’attention de ses masses populaires du merveilleux mouvement des « Indignados ».

Le nom de code de l’opération était « Rachel », du nom de la vile séductrice qui, selon la Torah, fit mettre à mort Amman, assassiné car il voulait débarrasser la Perse de la puissance juive. Son but (hélas réussi) : provoquer une panique chez les consommateurs européens et les inciter à se détourner des concombres et des tomates autochtones. En effet, les sionistes veulent inonder le marché européen de leurs légumes et de leurs fruits. Peu leur importe que des êtres humains meurent, que d’autres soient condamnés à la misère. Ce qu’ils veulent, c’est vendre, vendre et vendre encore… Et ce n’est pas un crime contre l’Humanité (un de plus) qui les arrêtera.

Atlantico ne peut pas, évidemment, révéler toutes ses sources car le Mossad a le bras long. Mais nous sommes en mesure de révéler, le nom de celui qui est notre prophète et notre maitre à penser. Il s’agit de l’indomptable Thierry Meyssan, du réseau Voltaire. C’est lui qui, dans une enquête incontestable, a démonté les mécanismes cachés de la provocation du 11 septembre à New-York, une catastrophe planifiée par la CIA et le Mossad dans le but de discréditer l’Islam. Persécuté par la police sarkozyste, Thierry Meyssan a été obligé de se réfugier à Beyrouth où, comme conseiller, il fait profiter le Hezbollah de ses connaissances. Thierry Messan est donc très qualifié pour dire les vérités qu’on nous cache sur l’entité sioniste.

Maintenant que nous savons qui sont les criminels, que faut-il faire ? Protester… Réclamer justice au Tribunal pénal International… Demander la levée de l’immunité présidentielle de Sarkozy, coupable de complicité de forfaiture… Bien sûr ! Mais les sionistes sont puissants et tiennent tout ce beau monde. En attendant qu’un jour les peuples se révoltent pour mettre fin à leur domination il est possible de faire quelque chose de simple. Apprendre à reconnaître les concombres et les tomates sionistes qui pullulent sur nos marchés, pour ne pas les acheter et – pourquoi pas ? – les détruire. Les concombres, en provenance de l’entité sioniste, ont tous le nez crochu (et en plus, ils en ont deux). Quant aux tomates, c’est un peu plus compliqué : il faut demander au vendeur ou à la vendeuse d’en ouvrir une devant vous et vous verrez que leurs pépins ont la forme d’une étoile à six branches.

Note de la rédaction : les sites Bella Ciao, Agora Vox et Le Réseau Voltaire se seraient notamment fait l'écho d'explications farfelues.

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