Bayonne : Gérald Darmanin promet des mesures pour les chauffeurs de bus de toute la France <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Crédits Photo: Capture d'écran CNews / Dailymotion
Gérald Darmnain Bayonne

Mort du conducteur agressé

Bayonne : Gérald Darmanin promet des mesures pour les chauffeurs de bus de toute la France

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a effectué un déplacement ce samedi dans la ville de Bayonne. Il a notamment rencontré la famille de Philippe Monguillot, le chauffeur de bus agressé à Bayonne et qui est décédé. 

Gérald Darmanin a promis des mesures "pour les chauffeurs (...) de toute la France", selon la fille de la victime Philippe Monguillot.

Le ministre est ensuite arrivé à la mairie où il s’est entretenu avec les élus. Il a également renconté les conducteurs. Ces derniers ont exprimé leur colère et leur indignation en usant de leur droit de retrait depuis lundi dernier.

La famille de Philippe Monguillot avait annoncé vendredi soir le décès du chauffeur de 59 ans, en état de mort cérébrale depuis son agression. 

Ce père de deux autres filles de 21 et 24 ans a été victime d'une agression "d'une extrême violence", roué de coups et grièvement blessé à la tête, alors qu'il voulait contrôler le ticket d'une personne et exigeait le port du masque pour trois autres passagers, selon le parquet de Bayonne.

En réponse, le gouvernement a promis la fermeté par la voix de son Premier ministre : "la justice punira les auteurs de ce crime abject", a assuré Jean Castex vendredi sur twitter.

Agés de 22 et 23 ans et connus des services de police, deux hommes se trouvent en détention provisoire, mis en examen pour "tentative d'homicide volontaire", une incrimination qui doit être requalifiée en "homicide volontaire sur un agent de réseau de transports publics" à la demande du parquet. Deux complices trentenaires ont également été écroués cette semaine pour "non assistance à personne en danger".

CNews

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !