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François Hollande : alors, "largué" par Julie ?, Valérie Trierweiler : le retour du boomerang, Alexandra Lamy : nouvel amour, nouvelle vie
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Revue de presse people

Mais aussi l'affront fait à Valérie à Madagascar, le véritable sens du titre "Merci pour ce moment", la rupture de Thomas Hollande et de Joyce Jonathan, les détails du mariage de George Clooney et, et, et... la petite mise au point de Claire Chazal à son frère. Y'a de l'amour, de la haine et du sentiment dans la revue de presse people !

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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Tous aux abris, planquez-vous ! Ca y est, elle est rentrée ! Qui ? Valériiiiie ! Houlala ! Et vous croyez que ça va recommencer, qu'elle va balancer une nouvelle bombe, ou que c'est bon, elle est calmée, là ? Bé... à lire les people, la réponse est padtafait tranchée... Rahaaaaa !

Valérie : le retour

"Ce mardi 16 septembre, raconte "Voici", c'est une Valérie Trierweiler bronzée, souriante et apaisée qui débarque à Roissy, en provenance de Madagascar. Après dix jours dans l'océan indien, loin du tumulte créé par son livre, "Merci pour ce moment", la tornade Valérie est de retour. Avec quelles intentions ? C'est la question que tout le monde se pose. (...) Dans l'entourage présidentiel, certains craignent en effet qu'elle en remette une couche. Son portable est rempli de SMS de François Hollande qu'elle pourrait s'amuser à faire "fuiter". Mais pour ceux qui la connaissent, c'est un pur fantasme : ils jurent que Valérie est prête à passer à autre chose. Et surtout, à un autre homme". Ah oui ? Bon, ben, y'a plus qu'à croiser les doigts pour qu'elle le trouve, cet "homme providentiel"...

Un fiancé pour Valérie

Facétieux, "VSD" ? Pour "rester au top", le magazine prodigue ses conseils à l'ex-première compagne. Conseil number one : "épouser Vladimir Poutine". "Le président russe étant désormais divorcé, son coeur et son lit sont vides, indique le journal. C'est l'occasion de jouer les tsarines et de mûrir sa vengeance contre la France, ce pays ingrat qui ne l'apprécie guère (...). Et de lancer les Cosaques sur Paris. Solutions de repli : le Bolivien Evo Morales, le Cubain Raul Castro ou l'Argentine Cristina Kirchner". Quoi, même Cristina ?

Le véritable sens du titre "Merci pour ce moment"

Toujours animée par un esprit de revanche, Valérie Trierweiler ? On l'apprend grâce à "Closer", le titre de son livre, loin d'être une marque de gratitude, est en fait une pique adressée très directement au président de la République... "Ces mots feraient référence au début de leur relation, explique le people. "L'histoire est morte avant ses neuf ans, mais si notre amour devait porter un nom, ce serait celui-ci : "Le baiser de Limoges". C'est notre légende à nous. C'était un jeudi, le 14 avril 2005", écrit-elle avant de raconter avec force détails comment François Hollande l'a embrassée puis a passé la nuit avec elle dans un hôtel de la ville alors qu'il devait normalement se rendre à Tulle. Ce qu'elle omet de raconter, c'est que le lendemain de cette première nuit, dans le train qui la ramenait vers Paris, elle a reçu un SMS du Président qui lui disait "Merci pour ce moment". La vengeance est un plat qui se mange froid, voire glacial". Effectivement...

Valérie s'est-elle libérée en se vengeant ?

Et puisqu'on parle de "vengeance", "Elle" est allé interviewer ce vendredi le psychanalyste Michel Schneider pour savoir si celle-ci est "libératrice" ou pas. "Non, c'est une illusion, affirme le spécialiste, même si dans l'instant elle permet de s'en prendre à l'autre plutôt qu'à soi-même. (...) Lorsqu'elle est froide, la vengeance signe une volonté de détruire l'autre plutôt que de le perdre : c'est une façon de garder le contrôle. Une fois passé l'accès de rage, la douleur est toujours là. On risque alors de s'enfermer dans une posture agressive". —"La rage n'est-elle pas une étape vers la reconstruction", demande le mag. —"Je fais une différence entre la revanche et la vengeance. La revanche est une relation égalitaire : l'un a gagné la première manche et l'autre gagne la seconde. Dans le cas de l'ex-Première dame, la véritable revanche serait d'être plus épanouie dans sa nouvelle vie, de souhaiter autre chose pour elle-même que se maintenir dans ce chagrin et cette haine". Houlà, on dirait que c'est pas gagné du tout, cette affaire...

Valérie masochiste ?

—"Est-ce que la vengeance est une forme d'autodestruction ?", s'enquiert encore "Elle". —"Elle est avant tout narcissique, répond Michel Schneider : il est question de régler des comptes avec soi-même, peu importent les conséquences. Valérie est prise dans une telle "rage narcissique", une toute-puissance destructrice et masochiste. Ce qui est frappant, c'est le franchissement des limites de la décence, comme si elle ne se contrôlait plus. En apparaissant comme une furie qui cherche à nuire, elle démolit l'image de sérénité et de distance qu'elle souhaitait construire. Elle qui a été si loin dans l'exposition de son triomphe souffre sans doute plus de la perte de cette image d'elle-même que de l'homme qu'elle prétend avoir aimé. Avoir été jetée hors du champ médiatique, voilà le plus insupportable". Ouille, décapant, le diagnostic !

L'affront fait à Valérie

Si Michel Schneider dit vrai, à savoir que Valérie Trierweiler souffre plus d'avoir disparu des écrans que d'avoir perdu le président, le petit "affront" qui lui a été fait à Madagascar risque d'être assez mal passé... "Closer" nous informe en effet que le reportage de l'ex-"première journaliste de France" ne s'est pas tout à fait déroulé comme elle l'aurait aimé. Si "un responsable auprès de la présidence de la République est venu la chercher à l'aéroport", Valérie Trierweiler a rapidement "perdu tout contact avec les autorités locales", relate le mag. "Les journalistes présents lors de (l'inauguration d'une station d'eau potable financée par le Secours populaire, dont elle est la marraine) ont fait le constat que l'ex de François Hollande, bien que détendue, était décidée à garder le silence face caméra. Et puis, RFI a souligné qu'elle participait "aux festivités jusqu'au bout, mais dans l'indifférence des villageois". "La Tribune de Madagascar" note surtout que Valérie Trierweiler est une "vazaha", une "étrangère" que personne ne connaît ni ne reconnaît. Mais l'affront vient de l'Unicef, qui lui a refusé sa demande d'audience (...) pour cause d'incompatibilité d'agenda". De quoi bien vous remettre les idées en place, quoi.

Julie Gayet : "C'est pas la joie"

Et François et Julie, dans tout ça ? La semaine dernière, souvenez-vous, "Closer" nous l'affirmait haut et fort : "leur amour n'a jamais été aussi fort" (voir la RP du 13 septembre). Ce vendredi — bizarre... — "Voici" qui, en principe, a toujours l'avantage sur "Gala" question scoop, reprend, quasi mot pour mot, le titre que son concurrent affichait en une il y a dix jours : "Julie Gayet : l'humiliation de trop". Comme "Gala" hier, "Voici" insiste sur la blessure causée par "les mots" de Valérie Trierweiler. "Et puis, ajoute-t-il, il y a ce dîner, le 14 avril, où le président et son ex auraient célébré l'anniversaire de leur premier baiser à Limoges". Décidément, on n'en sort pas de cette histoire de "baiser de Limoges"... "Aujourd'hui, cette bombe, lâchée par sa rivale blessée, plonge (Julie) dans un profond désarroi, affirme le mag. Alors que tout le monde autour d'elle rêve de savoir où elle en est avec François, elle a choisi de se taire. Pour la simple et bonne raison qu'elle ne le sait plus trop elle-même..." A en juger par les "photos exclusives" publiées par "Voici", où l'on voit la comédienne dans les rues de Paris, l'air triste, un peu perdu, il semble en effet que l'heure soit au questionnement et au tirage de bilan. Une chose est sûre, et comme le journal l'annonce en titre : "C'est pas la joie".

François "largué" par Julie

De là à croire "VSD" qui affirme en une que François Hollande a été "largué par Julie Gayet" ? Le fait est que le journal semble assez bien renseigné... "Comment va la Gayet (...) ?, lance le mag, ironique. "Julie s'en fout, elle a tourné la page", répond un de ses amis, qui souhaite rester anonyme. (...) Jusqu'au mois d'août encore, Julie Gayet a voulu François Hollande, l'homme, le séducteur, le président. Elle qui trouve son intelligence "érogène" souhaitait l'officialisation de leur amour. N'avait-il pas quitté Trierweiler pour elle aux yeux du monde ? A presque 60 ans, qu'un homme non marié quitte sa compagne pour une autre, à l'heure où 50 % des couples en Ile-de-France finissent par se séparer, franchement, le scénario n'avait a priori rien d'apocalyptique. Seulement, voilà, Hollande n'a pas voulu". Holà, on est un peu perdu, là, "VSD" : c'est Julie qui est partie ou c'est François qui ne voulait plus ?

Dernières vacances en Charente ?

Julie Gayet a été "cash", reprend le mag. Avec François Hollande, soit elle entrait dans la lumière, soit elle reprenait sa liberté entière. Hollande, avec ses conseillers, ses cinq à sept et une gorgone répudiée dont il redoutait la confession explosive, n'a pas tranché. Durant l'été, les deux héros du "Gayetgate" en étaient encore là, passant ensemble quelques jours chez des amis en Charente. Depuis, plus rien". Ah, heu, et c'est tout ? Ca veut dire que tout s'est arrêté en Charente — où on ignorait d'ailleurs que notre président était allé ? A en croire "VSD", c'est ce qu'il semble : "Garder la lumière. S'en servir bien. Sans commettre d'impair. Et vivre sa vie. Voilà le nouveau credo (de Julie Gayet)", affirme le journal, avant d'ajouter : "Au Château, Monsieur je-veux-tout pleure peut-être sur ses deux cassettes perdues. S'il envoie à la Gayet autant de SMS qu'il en a envoyé à son ex-ex, la pièce rebondira encore". Rien d'irrémédiable encore, on dirait... Quant à savoir si la comédienne a envie de remettre les doigts dans la prise, hmmm ?

Thomas Hollande et Joyce Jonathan : la rupture

C'est pas cui-cui, les petits oiseaux, la vie des hommes du clan Hollande, en ce moment... Comme à peu près tous ses confrères, "Gala" nous apprend en effet que Joyce Jonathan et Thomas Hollande se sont séparés. "La chanteuse au casting de "Danse avec les stars" (saison 5) l'a confirmé durant la conférence de presse de lancement de l'émission de TF1 : son idylle avec le fils du président de la République est terminée, indique le people. Son ex-belle mère, Ségolène Royal, ne viendra donc pas la soutenir dans le public de "DALS". Ni Julie Gayet dont on la disait proche". Oh, ben, ça, c'est plus si sûr, maintenant... !

Tout sur le mariage de George Clooney

Heureusement... heureusement, il y a des amoureux heureux, et qui prennent des engagements ! "Après vingt ans de célibat, annonce "Closer", George Clooney se fera passer la bague au doigt (...) le 27 septembre prochain à Venise. C'est ce qu'affirme le journal italien "Il Gazzettino". D'abord, l'acteur et sa ravissante fiancée, Amal, se diront "oui" au Aman Canal Grande Hotel, un palais du XVIe siècle, où ont été réservées vingt-quatre chambres. Puis leurs quelques centaines d'invités, dont Brad Pitt et Angelina Jolie, sont attendus pour la réception au palais Ca'Farsetti, un chef d'oeuvre de l'architecture italienne du XIIIe siècle. Le couple a également réservé 79 chambres au très luxueux hôtel Cipriani, du 25 au 29 septembre". Hé bé, font pas les choses à moitié, George et Amal ! Ca risque d'être animé, fin septembre, sur la lagune...

Alexandra Lamy : nouvel amour, nouvelle vie

Un petit vent doux soufflerait-il sur les amours d'Alexandra Lamy ? "On pourrait se contenter de dire : c'est un joli cliché. Sauf que c'est tellement plus que cela, susurre "Gala" qui publie une photo d'Alexandra Lamy rayonnante, au côté de sa fille Chloé — jolie comme un coeur. Ce que les photographes, massés de part et d'autre du tapis rouge ce 5 septembre, jour de la cérémonie d'ouverture du 40e Festival du cinéma américain de Deauville, ont capté dans leur objectif, c'est moins deux femmes, blondes et ravissantes, qu'une jolie lumière". Oh mais que cherche à nous faire comprendre le journal, avec cette "jolie lumière" ? Pour le savoir, il faut aller direct à la fin de l'article de deux pages... "Epaulée par sa bande d'amis fidèles, capable de se ressourcer il y a plus d'un an à Bali, (Alexandra Lamy) a tourné la page. Et ça marche !, s'écrie le mag. Aujourd'hui, Alexandra déborde de projets (...). Et il se murmure qu'un homme discret à l'accent british, loin de toute pipolerie, enchanterait sa nouvelle vie". Rôôô, en voilà une bonne nouvelle ! On croise les doigts, Alex, pour que tout cela soit vrai : tu l'as bien mérité !

Claire Chazal : la drôle de couverture

Mais que fait Claire Chazal en couverture de "Paris-Match" ? C'est pas qu'on ait quelque chose contre — la journaliste fait régulièrement la une des people —, c'est juste qu'après la couverture Valérie (il y a quinze jours) et celle sur Arnaud Montebourg et Aurélie Filipetti (la semaine dernière), on s'était un peu habitué aux affiches choc. Cette soudaine mise en avant serait-elle liée à la publication de "Claire Chazal, une passion française" de Marie Bernard (Editions du Moment) ? "Dans le livre, explique en effet "Closer", le frère aîné de la journaliste de TF1 balance sur son adolescence introvertie et lui reproche de n'avoir raconté que les mauvais côtés de leur histoire familiale". Faut-il y voir un message ? L'article de huit pages — huit pages, oui ! — que "Match" consacre à la présentatrice des journaux du week-end sur TF1 s'intitule : "Une envie de douceur". La photo d'ouverture du "dossier" présente Claire Chazal allongée, pieds nus, sur son canapé avec son chat. "L'art de ne pas montrer les griffes, et un amour de la liberté qui n'empêche pas la tendresse... Claire a beaucoup appris des chats", commente le journal. A la page suivante, se détache en gros caractères cette citation : "Je n'aime pas les conflits, ni la rugosité dans les relations humaines. J'aime juste être gentille avec les autres". Claire la gentille aurait-elle quelque chose à dire à son (méchant ?) frère ?

Juste une mise au point...

Si Claire Chazal évoque abondamment ses parents tout au long de l'interview, disant notamment qu'ils lui "ont transmis des peurs, ces angoisses, ces phobies", qu'ils "ont toujours été dans le devoir, la contrainte et la raison", il faut arriver presque à la fin de l'article pour que soit, enfin, directement évoquée la publication du livre de Marie Bernard. "Dans un livre qui vous est consacré, votre frère Philippe, qui est votre aîné de cinq ans et qui fut patron de la chaîne Histoire, témoigne d'une vision très différente de la vôtre concernant vos parents, observe "Match". Qu'en pensez-vous ?" —"Je tiens tout d'abord à préciser deux choses, répond Claire Chazal. La première : je m'entends correctement avec mon frère, il n'y a pas de rivalité entre nous. La seconde : je ne souhaitais pas que ce livre se fasse, qu'on raconte ma vie, et j'avais demandé à tout mon entourage de ne pas répondre aux questions de l'auteur. Que mon frère ait décidé de le faire n'est pas très grave, je ne considère pas cela comme une trahison, il n'y a pas de polémique à entretenir. Je comprends très bien qu'on puisse avoir une vision différente d'une enfance, des rapports avec les parents. Au sein d'une même famille, les points de vue peuvent être différents en fonction de l'âge, des tempéraments et des parcours personnels. Tout cela est, au fond, très banal". Très banal, mais cela méritait quand même huit pages d'éclaircissements et la couverture de "Paris-Match", hmmm ? Sur ce, les biquets, c'est l'heure d'aller vous aérer et de profiter du week-end : ça passe toujours trop vite, la petite pause de fin de semaine !

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