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Zapping politique du jour : Jean-Marc Ayrault, Rebsamen, Philippot... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce mercredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Jean-Marc Ayrault, Premier ministre sur Europe 1

"Nous avons demandé un effort aux Français pour remettre le pays à l'endroit mais maintenant place aux économies". 

RETROUVEZ L'INTERVIW COMPLETE DU PREMIER MINISTRE

La vidéo du jour : Jean-Christophe Cambadélis, député PS, sur iTélé

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L'essentiel de ce mercredi matin

François Rebsamen, sénateur UMP, sur RTL

Cantonale de Brignoles ? "Il y a plusieurs raisons à cet échec. Notre électorat s'abstient. C'était une élection particulière. Je ne vaux pas nier le fait que le FN est fort mais ça reste particulier. Je sens une inquiétude chez nos électeurs mais pas encore de la contestation.

"François Hollande ne pensait pas devenir populaire. Il faut redresser le pays et ça, c'est difficile mais petit à petit, il parvient à tenir ses objectifs. Il fallait boucher les trous et oui, il fallait augmenter les impôts. Mais tout va un peu mieux. Il y a des progrès, regardez les chiffres de la croissance, du chômage..."

Manuel Valls ? "Qu'il se rende dans des territoires où le FN a fait de bons scores, c'est une des réponses à apporter. Il fait un bon boulot et répond à ce qu'on lui demande, c'est à dire apporter de la sécurité. Je pense qu'il faut continuer sur cette voie".

Réforme pénale ? "C'est un engagement du président de la République. C'est un bon projet car c'est la fin de l'hypocrisie de Sarkozy. Cela met fin à l'hypocrisie qui fait croire que mettre plus de prison empêche la récidive. Le projet de Christiane Taubira est bon et je la soutiens".

Florian Philippot, vice-président du FN, sur RMC

La tournée anti-FN de Manuel Valls ? "Je crois qu’il a essayé de rétropédaler puisqu’au début ils parlaient d’une tournée anti-FN payée par le contribuable. Il s’est rendu compte du caractère délétère de ces annonces. Quand on est ministre de l'Intérieur, on ne fait pas une tournée contre un parti et ses électeurs, à la limite on fait une tournée contre l'insécurité. On parle beaucoup mais sur les résultats on attend toujours".

Le FN, parti d'extrême-droite ? "Il n’est pas question de porter plainte contre tout le monde. Il faut argumenter et si ça ne marche pas nous prendrons un cas symbolique et nous irons devant la justice. Il y a des limites, c’est la diffamation. Dire que nous sommes d’extrême droite, c’est insultant. Nos électeurs sont des amoureux de la France, ils ne veulent pas être insultés".

Les Roms ? "J’entends des Français qui en ont marre d’avoir une immigration de masse. Et ils ont raison d’attendre une autorité de l’Etat. C’est normal, c’est vital pour l’unité nationale. Il faut démanteler les camps, les renvoyer chez eux. Nous voulons mettre en place des frontières et dissoudre Schengen si nous n’arrivons pas à négocier des points importants : les frontières, l’euro, le protectionnisme. Il faut retrouver la monnaie nationale ou sortir de l’UE. L’anomalie, c’est l’Union européenne". 

Thierry Mandon, porte-parole du PS sur RMC

Il a dit mardi que le FN était un "parti national fasciste", il assume ? "Je parle du parti pas des électeurs quand je parle de fascisme. A Marseille, devant ses cadres, Marine Le Pen a tenu des propos antiparlementaires. Elle a développé des thèmes sur la préférence nationale et sur la trahison des élites. Le projet du FN, c'est un régime autoritaire qui empruntera à la rhétorique fasciste".

Sur les licenciements chez Alcatel-Lucent ? "Tout le monde savait. Alcatel a fusionné avec un groupe, Lucent, américain. Ils ont perdu de l'argent tous les ans depuis. Ils sont sortis de la bourse. L'entreprise est en grand danger. On savait qu'il y aurait une sixième restructuration".

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